~ Billet 265 ~
Le dos reste sensible. Il me souffle Prudence. C'est l'ange gardien de Bigorbourg (chez martine27) qui fait des extras sans doute.
Donc je vais illico faire la grève de la chaise d'ordi et préférer d'autres exercices.
je vais continuer à espacer mes visites sur ce blog et sur les vôtres. Mais, bon, vous pourrez en profiter pour visiter ou revisiter quelques uns de mes billets.
Tout d'abord, la distribution des prix : le tag en provenance de Sarah Frane suggère de le remetre à 7 blogs, mais je l'ai vu ailleurs en distribuant 4 ou 5 ... La mesure absolue n'existe pas pour mesurer l'excellence. D'ailleurs, celle-ci est toujours en devenir, un peu comme l'infini inatteignable.
Alors pour qui cette médaille ?
Dominique, pour sa manière subtile de lier poésie et sage bon sens.
Balaline, pour sa poésie ultrasensible en mots et/ou en images Liedich, poète, ce pourrait être son nom, dont les meurtrissures d'enfance nous donnent à lire des textes incarnés.
Martine27, pour ses histoires pleines d'imagination et d'humour.
Mansfield, pour ses textes plein de délicatesse visitant le passé ou le présent
Maous Artist Défiant l'Olibrius, pour son regard fouillé sur les coutumes et la nature autrichienne
Urga qui revient après une longue absence pour les promenades dans la peinture et les duos haïkus peinture avec Brunô
Pour les billets de ce tag voir Récompenses ou signes d'amitié ?
et Récompenses amicales ? (2)
Petit rappel des consignes :
raconter 7 choses inédites sur vous dans lequel se glissera un mensonge : à vous de trouver lequel.
Et choisir 7 boggueurs à qui décerner ce prix (les prévenir en déposant un commentaire sur leur blog).
Et maintenant, pour les vérités et le mensonge, celles et ceux qui ont vu le billet éphémère les connaissent déjà. Je les reprends ci-dessous.
Eh oui, Marie, qui me connait bien, (c'est ma filleule) avait deviné que je ne mets pas de vernis sur les ongles.
quelques précisions sur les vérités énoncées car je ne vous sens pas encore convaincus de ma bonne foi.
1 Je viens d’être une nouvelle fois arrière grande tante.
Vrai.
C'est un grand bonheur pour mon petit neveu et sa compagne dont c'est le premier enfant. Il faut vous dire qu'il y a 20 ans d'écart entre ma soeur ainée. Mais même sans les décalges de génération, à 59 ans, ce serait tout à fait possible.
2 La Calas a fait dévier le tracé d’une ligne électrique pour sauver un arbre que mon père devait faire abattre.
Vrai.
C'est peut-être la proposition qui vous étonne le plus. Dans les années 1950, beaucoup de bâtiments ruraux n'étaient pas encore reliés au réseau électrique. Mon père était responsable d'un de ces districts et Maria Callas était venue chez un de ses amis (à elle, pas à mon papa).
3 Je n’ai jamais été fumeuse mais je n’en ai aucun mérite car je n’en tire aucun plaisir.
Vrai.
Ce qui ne veut pas dire que je n'ai jamais fumé de cigarettes, mais si peu. Il vous intéressra sans doute de connaitre les raisons de ce dégoût.
Attention, ce n'est pas de la sagesse, c'est un vrai dégoût comme certains n'aiment pas le fromage ou même le chocolat. Si, si j'en ai connu aussi.
4 L’été, j’aime mettre du vernis sur les ongles de mes orteils.
Faux.
Mais je trouve cela très joli sur les ongles des autres. Seulement, il faudrait que j'ai un minimum de surface à mettre en valeur et mes ongles surtout aux doigts de pied, sont rikiki !
La preuve en photo dans mon Autoportrait.
5 Sur une route de Yougoslavie, très loin de nos domiciles, j’ai croisé des amis faisant de l’auto-stop dans la direction opposée.
Vrai.
Je peux même vous dire que nous avons pris le temps de nous arrêter et de partager assis sur l'herbe un goûter autour d'un miel succulent que mes amis venaient de se procurer.
6 L’hiver, il m’arrive de dormir avec des chaussettes.
Vrai.
Je n'aime pas chauffer la chambre et le soir, les draps sont froids.
La bouillotte ? Bof, les chaussettes suffisent et je les enlève quand je suis réchauffée.
7 J’ai mis sur ce blog, une photo avec le livre Goncourt 2009, la veille de la remise du prix.
Vrai pour l'antériorité . . ., Démonstration en lien ici,
faux pour la veille. En fait c'était 8 jours avant ! Car le prix Goncourt a été décerné le lundi 9 novembre 2009
et un petit zoom sur l'image.
Trois femmes puissantes, Marie Ndyaye,
Editions Gallimard, 2009
Seul le silence, R. J. Ellory,
Editions Sonatine, 2008,
que je vous ai présenté ici
Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage, Maya Angelou,
Le livre de poche, 2009
première parution, Etats Unis, 1969
dont j'aurais grand plaisir à vous parler.