Ombre et lumière suite
C'est en cherchant vainement le thème pour cette semaine que j'ai vu que pour le petit patrimoine, il était question de basse-cour le week-end dernier. Alors je reprends d'autant plus volontiers ce thème que j'avais envie de rééditer pour La Cour de récré de JB Igor le ténor, mais je l'avais déjà fait récemment ou Apolline la coquine mutine.
Mais surtout, passant devant la grille d'un château depuis longtemps silencieux, j'avais encore en tête les merveilles de Dom Robert, vues à la Galerie Nationale de la Tapisserie de Beauvais (l'exposition avait lieu jusqu'au 18 août)
Dom Robert, Le printemps, 1942 tapisserie
Détail de la tapisserie.
Comme en écho au coq majestueux de l'horloge astronomique de la cathédrale toute proche du musée
Est-ce la raison de son enrouement quand il s'est animé à son heure ?
ou à celui d'une vraie basse-cour (ou plutôt ceux car il y en avait deux)
lesquels se pavanaient sous le premier soleil d'avril au milieu des poules tandis que le paon se pavanait plus loin laissant sa paonne indifférente.