Pour le deuxième jeudi en poésie sur le temps, j'ai eu envie, dans la suite logique de mes vagabondages autouir du temps, de vous faire partager ces évidences qui me trottent dans la tête depuis que j'en ai lu le thème sur le blog de Harmony37 pour le défi n°40 des Croqueurs de mots.
Je vous laisse aller l'entendre avec la voix rocailleuse et sublime du chanteur par vos propres moteurs de recherche et je pianote ici juste les premières lignes de la chanson-poème :
Quand ils sont tout neufs
Qu'ils sortent de l'oeuf
Du cocon
Tous les jeunes blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenues
Des grisons
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots
Pour des cons
Moi qui balance entre deux âges
J'leur adresse à tous ce message
Le temps ne fait rien à l'affaire
Quand on est con, on est con
Qu'on ait vingt ans qu'on soit grand père
quand on est con, on est con
Entre nous plus de controverse
Cons caducs ou cons débutants
Petits cons d'la dernière averse
Vieux cons des neiges d'antan
Etc ... par Georges Brassens, grand pourfendeur de cons, en chanson et avec sa grande bonhommie et sa grande sagesse.
Le tout retranscrit de mémoire. A quand une taxe sur les cerveaux ?
Si j'ai le temps et l'accès à mon blog, je complèterai, mais là, il faudra que je complète ma mémoire, quand même !