illustration libre de droits empruntée à l'article de Wikipedia la Petite sirène
Partie loin de la rive
Un jour de grand beau temps,
La belle nageait hardiment
Comme là-haut volait la grive.
Hélas ! Se lamentait son ami,
Inconsolable tel pleurant Ophélie*
En contemplant le sinistre océan !
Pourquoi ces larmes, ces soupirs ?
Une baignade est simple promenade
L’eau, le sais-tu, est mon pays
Car c'est ainsi, je suis naïade !
Habille ton cœur d’un sourire
Emmène-moi dans tes délires,
Réchauffe mon corps à ton âme,
Invite-moi dans ta vie.
Et passe-moi vite un pull, chéri !
Jeanne Fadosi, mercredi 3 mars 2010
J’avoue que j’ai cédé à la tentation de la facilité
Pour retrouver un peu de félicité
Après le déchaînement
Des éléments !
Un peu de récréation,
Avec la valse des prénoms
C’est Pulchérie, vous l’avez compris.
J’ai mis la sirène à la fête.
Point ne chassera pas la tristesse
De ceux qui sont dans la détresse.
Point n’est besoin de le vouloir
Pour partir dans un grand trou noir.
* Rendez-vous demain pour les jeudi en poésie pour suivre cette allusion.