J'ai fait partie de celles et ceux qui ont eu le privilège de découvrir le livre de Quichottine, sur les images de Davy Durand, en avant première.
Quand je l'ai reçu, aussi parmi les premiers envois, doté d'une dédicace qui m'a émue, (figurez-vous que j'étais promue fée en leur pays !) je vous en ai tout de suite avisée.
Depuis je ne vous en ai pas reparlé.
Comment avais-je reçu cette histoire ?
Quichottine, toujours scrupuleuse et inquiète, se posait mille questions sur ce qu'en pensaient leurs lecteurs. Après les péripéties auprès des éditeurs, il y avait de quoi cogiter. Même si j'avais fait part en privé à Quichottine de mes remarques sur les réponses qui la peinaient.
Je suis une lente, je proscratine et ... le temps de décembre a filé ... bien plus vite d'année en année dans mon temps pourtant bien souvent immobile.
Et puis j'ai vu l'ombre de l'ami de Papilio ... en allant au musée.
Oui, oui, vous avez bien lu. Ou plutôt c'était dans le musée même.
J'ai bien failli passer à côté sans le voir. Heureusement que d'autres veillaient.
à suivre ...
Et en attendant, si vous voulez savoir ce que je pense du livre Papilio, c'est bien mieux dit que je l'aurais fait moi même avec les mots de Pierre la marmotte. C'est d'ailleurs ce que je lui ai mis en commentaire.