Tout avait commencé le matin en sortant de la bouche de métro. Une grande affiche annonçait Ernest et Célestine sur les écrans de cinéma à partir de la semaine suivante.
Quand je prends le métro (rarement), j'essaie volontairement de m'abstraire des publicités. Mais Ernest et Célestine, c'est une part de ma vie de maman. L'un de ces livres délicieux qu'on me redemandait de lire à l'heure du coucher. Une grâce dans les dessins et un message de diversité d'une grande singularité.
Des albums, s'ils n'étaient pas à la maison, qui étaient empruntés à la bibliothèque. Plusieurs fois même.
Pourquoi donc je vous parle de ce dessin animé et de ces livres d'enfants des années 1980 ?
C'est que Davy a participé à la mise en image de ce film dont les premiers échos invitent à courir le voir ...
Dis-donc Jeanne, voilà que tu veux imiter Quichottine avec tes pas de côtés ... Non point, des digressions, j'en fais depuis le début sur ce blog. Certains s'y retrouvent, d'autres non. C'est peut-être un point qui m'a fait apprécier la bibliothèque de Quichottine, et j'ose le croire qui l'a conduite sur mes pages pour y revenir ...
Revenons donc vers l'ombre de l'ami de Papilio. C'était lors de l'exposition de Hopper au Grand Palais, à Paris.
L'ami de Papilio, son ami imaginaire, là je suis sûre que vous l'avez deviné, ... non ce n'est pas le Crayon !
quoique ...
Il était là, ou était-ce son ombre, bien droit et l'écharpe au vent, oui la ressemblance était étonnante !
Oh, regarde, m'a dit ma co-visiteuse ! on dirait ...
à suivre ...
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