Oyez, oyez, qu'on se le dise, Il s'est incarné, en un vrai livre
L'Atelier de Mijoty
(cliché de Quichottine emprunté aux Anthologies éphémères)
Vous en trouverez toutes les informations
sur le blog créé tout exprès par Quichottine :
Vous êtes bien sur le blog de Jeanne FADOSI
Oyez, oyez, qu'on se le dise, Il s'est incarné, en un vrai livre
L'Atelier de Mijoty
(cliché de Quichottine emprunté aux Anthologies éphémères)
Vous en trouverez toutes les informations
sur le blog créé tout exprès par Quichottine :
l'un des rares billets pour Coulisses, contrechamps et contre-chants
... et en ballade dans la contre-allée entre ombre et lumière du mardi 8 février
Un clic sur l'image pour voir l'album souvenir de ma dernière visite en juillet 2009
Mais je vous encourage à pousser plus loin la curiosité sur le site de ces passionnés résolus et efficaces, L'Hermione, la Frégate de la liberté, site aussi beau qu'instructif.
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Pour répondre à la suggestion de Enriqueta en hommage aux peuples de la Terre tels que la Tunisie et l'Egypte, je remets ce poème en ligne, rêve qui me tient toujours à coeur et que j'avais réédité pour bien commencer l'année.
Révolution ?
Rêve
Au monde magique de la nuit enchantée
Rêve éveillé
D'un monde idéal
Sans violence et sans haine
Sans arme et sans poison
Réveil
A l'âpre rugosité du monde réel
Réveillon
Pour l'oublier dans l'ivresse illusoire de la fête
Nous réveillâmes
Au passé simple
Des aubes au crâne brumeux
Futurs trop compliqués de nuits désordonnées
Réveil de l'âme
A l'essentiel
Révélation
Au merveilleux du jour qui passe
A la simple beauté du sourire d'un passant
A la douceur d'une gorgée de pluie sur le désert
Au vol de canards noirs dans l'aube grise encore
Rêvons ! Luttons
Ensemble pour et non pas contre
Ou alors tout contre
Rêve ô luciole
Que ta clarté rieuse réchauffe aussi les corps
Que ton rire mutin contamine les coeurs
Révolution
La misère est éradiquée
Sans plus de haine ni de peur
Sans colère ni rancœur
Rêve ?
Révolution ?
- Jeanne Fadosi - décembre 2008
Ce billet inaugure une communauté que je viens de créer, peut-être d'une manière irréfléchie ou tout au moins immature, mais elle nait d'une frustration à ne pas pouvoir mettre des annotations, d'autres pistes de réflexions, des objections à des billets forcément contenus par le format et par les règles du jeu posées par les communautés auxquelles je participe.
Les règles sont indispensables même quand elles ne sont pas explicites et Contrechamps et conte-chants y échappera d'autant moins que les conflits me font horreur et que je sais le sujet sensible aux dérapages.
Je compte sur les adhérents pour que cet espace cultive à la fois le débat d'idées, qui fait progresser nos visions du monde et de la vie, et la convivialité généreuse et ouverte.
Dans notre monde de la petite phrase et des opinions à l'emporte pièce, je n'ai pas trouvé, sans doute y en a-t-il que j'ignore, d'espace où exprimer les doutes, les divergences éventuelles, dans le prolongements d'autres articles.
Mise à jour du dimanche 26 février 2012
Le nom et la définition de cette communauté étant sans doute trop ambigu, Contrechamps et contre-chants vient d'être remplacée par
Coulisses et contrechamps de nos blogs
qui se veut un complément ou un supplément aux articles publiés sur notre blog dans nos autres communautés et ou une mise en lumière des commentaires qu'ils ont suscités
Pour le dernier jour de l'année 2010, juste une suite de mes dormeurs, avec la folle espérance que, seul ou non, partout dans ce monde un peu trop tourneboulé, une vraie paix de coeur et de chair permette à chacun un sommeil réparateur et plus serein.
Mes pensées vont à tous ceux qui seront seuls dans la rue, non pour faire la fête, mais parce que la rue est leur maison,
à ceux et celles qui passeront cette étape, quelques uns pour la première fois* sans le compagnon ou leur compagne, sans leur fille ou leur fils quelquefois, sans leur mère ou leur mère, à son heure ou trop tôt,
à tous ceux qui en Haïti ou en d'autres endroits bouleversés par les secousses de la terre mais dont on a beaucoup moins parlé, ont tout perdu,
à tous ceux qui craignent le réveil des armes alors qu'ils n'aspirent qu'à la concorde et à la construction apaisée,
à ceux qui sont injustement séparés des leurs, otages des querelles de ce monde,
à ceux qui, face à leur conscience, contraints ou non, se retrouvent à vivre avec le souvenir de leur geste.
* Une pensée particulière pour Bigornette car Robinson, son compagnon vient de rejoindre, peut-être une autre île, dans le pays imaginaire,
et à mes proches, famille ou amis, qui ont perdu l'un des leurs cette année ou plus tôt.
Trois bêtes à bon dieu
Occupées à faire la sieste
Rêvent d'épouvaffreux.
Pour Romuald, le berger de Bigorbourg, de Martine27.
Je taillais ma haie avec une cisaille légère et mécanique. J'avais pris la précaution de prendre mon appareil photo car je savais la haie habitée de tout un petit peuple de coccinelles, assez nonchalantes et confiantes pour ne s'éloigner que de quelques centimètres des lames tranchantes et même se poser sur ma manche ou sur ma main ...
J'aime à rêver qu'entre elles et moi, il y a un peu de connivence.
Tendrement penchées
vers la Terre qui murmure,
Clochettes d'amour.
Lampions de l'été
Demain ils ne seront plus
Mon coeur soupire
Couleurs du bonheur
Délicates fleurettes
Faites-nous rêver
gardez le soleil
lanternes Japonaises
la nuit arrive
Un grand merci à ADAMANTE, Jill Bill Fanfanet Tricôtine !
Il est toujours possible de s'exprimer sur ces clochettes, sous ce billet ou sous celui du jeudi fleurs en poésie
Les méandres des pensées tapies dans le cerveau reptilien de nos contrées imaginaires a donné naissance à une drôle de bestiole sur l'arbre à mots : "flagornelle"
Un commentaire de Vividecateri (qui n'a plus de blog mais qui continue à bloguer entre autre chez Bigornette) lui a déposé un commentaire sur le fil,
"Hier, dans mes rêves, j'ai vu un bigorneau voler, ... tenez bon ! bisous de tout coeur, Vivi"
ce qui m'a suggéré Bigornelle, proposé illico presto sur le forum de l'arbre à mots.
Alors, flagornelle ou bigornelle ? Et pourquoi pas les deux ?
Je sens que l'on va bien s'amuser dans cette forêt magique, si même les mots s'émancipent ....
~ Billet 470 ~
Un peu moins de 500 articles
Un peu plus de 15 000 visiteurs (selon les critères mystérieux de OB)
Un peu plus de 50 000 pages lues
5 000 commentaires déposés au début du mois
Des nombres bien modestes, me direz-vous au regard des fréquentations de blogs que j'ai grand plaisir à visiter régulièrement.
Un clin d'oeil à celui de Quichottine qui a fêté sa troisième bougie tout récemment.
Mon but était tellement peu de faire de l'audience que je ne me suis aperçue de ma "promotion" en mode privilège que près de deux semaines après !
Vous le devinez, si je cite aujourd'hui des nombres, ce qui ne m'est pas coutumier, c'est que mon blog a deux ans.
Mes premiers pas dans la dimension blogs. Je n'avais aucune idée de ce que j'y trouverais de partage et de gentillesse. C'était juste une soupape dans un quotidien pas toujours facile.
Si je n'ai pas marqué l'événement du 5 000ème, c'est que le quotidien justement me tient souvent hors de portée d'un ordi et d'une connection !
A toutes et à tous, je dis à nouveau un grand merci, avec les mêmes pensées que celles du 1000ème.
Même si je ne peux pas vous rendre aussi souvent visite que je le souhaiterais et même si je continue à venir sur la pointe des pieds sans déposer de commentaires.
~ Billet 458 ~
Pour le rendez-vous de l'insolite, animé par Cannelle56, qui attend, soit dit en passant de nouvelles propositions pour les mois à venir, dans la catégorie arbres insolites
Je suis bien aise de voir sur le blog d'Adamante ce magnifique monstre sur pied, le crocotilleul, qui a rejoint le bestiaire-herbier fantastique chez Quichottine, à l'initiative du Balisier des couleurs.
Elle me donne l'occasion de vous présenter un de ses ancêtres, rencontré sur une pelouse de Brienz, en Suisse, en 1970. Et dire que je l'avais pris pour un dragon !
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~ Billet 442 ~ 3ème réédition
Les derniers articles sont juste après ce billet ou juste avant.
(première parution lundi 24 mai pour Vive le désordre ;
1ère réédition mercredi 26 mai pour la Récréa-bigornette ;
2ème réédition jeudi 27 pour les Croqueurs de mots)
Comme certains l'ont peut-être lu dans les quelques réponses aux commentaires, mon ordinateur arrive en bout de course et je lui fais faire en ce moment une grande cure de jouvence. Les résultats ne sont toujours pas probants et comme le raccordement à internet est également assez capricieux, et que sur ces derniers décrochages, je n'ai aucune prise ...
Alors, soit, l'ordi réclame des vacances prolongées et renacle à regagner ses pénates. Cela repose aussi mon dos, même si la distraction apportée dans ce média me manque déjà.
Je vous visite d'où je peux, sans laisser de message le plus souvent.
J'ai programmé quelques articles et continuerai à le faire en fonction de mes opportunités, tout en faisant remonter cette page autant que j'en aurai la possibilité.
Vous pouvez continuer à visiter mon blog car je réussis quand même à l'alimenter. Et il y a près de 500 billets à découvrir ou redécouvrir ; même vos commentaires sont les bienvenus. Si, si, je sais que solliciter des commentaires ne fait pas partie du savoir-vivre bloguesque pour certains blogmestres. Je ne sais pas qu'en penser. Pour moi, c'est un lien sympathique qui peut ou non s'instaurer. C'est vrai qu'en ce moment, je ne peux guère vous rendre la politesse.
Vos petits mots, je les lirai avec grand plaisir. Merci de comprendre mon silence relatif, j'aime aussi le silence, ça je l'avais écrit dès l'ouverture de ce blog.
Les pivoines ploient de nouveau sous de grosses fleurs carminées, à l'instar de celles de l'an dernier dont voici un aperçu
Les chardonnerets
Sur les bleuets se balancent
Familiarité !
Jeanne Fadosi, vendredi 14 mai 2010
Deux mètres et la vitre de la porte fenêtre nous séparaient, mais je les aurais effaroucher en me levant pour aller chercher u appareil photo. Ils étaient trois mâles en train de picorer dans les corolles des fleurs.
Sur les blogs, les jeux d'écriture témoignent de la vitalité
de la langue française sans tapage
et chaque jour
je n'oublie pas Anne-Sophie
et ses compagnes d'infortune :
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015 ; 123 en 2016 et en 2017 ; 121 au moins en 2018 ; 150 en 2019 (au moins 122 confirmés)
(clic sur son regard pour comprendre ... un peu)
Profitez des instants de la vie :
le temps s'écoule à sa cadence,
trop vite ou trop lentement,
sans retour possible
N'oubliez pas que
"Tous les matins du monde sont sans retour"