~ Billet 442 ~  3ème réédition

Les derniers articles sont juste après ce billet ou juste avant.

(première parution lundi 24 mai pour Vive le désordre ;

1ère réédition mercredi 26 mai pour la Récréa-bigornette ;

2ème réédition jeudi 27 pour les Croqueurs de mots)

Comme certains l'ont peut-être lu dans les quelques réponses aux commentaires, mon ordinateur arrive en bout de course et je lui fais faire en ce moment une grande cure de jouvence. Les résultats ne sont toujours pas probants et comme le raccordement à internet est également assez capricieux, et que sur ces derniers décrochages, je n'ai aucune prise ...

Alors, soit, l'ordi réclame des vacances prolongées et renacle à regagner ses pénates. Cela repose aussi mon dos, même si la distraction apportée dans ce média me manque déjà.

Je vous visite d'où je peux, sans laisser de message le plus souvent.

J'ai programmé quelques articles et continuerai à le faire en fonction de mes opportunités, tout en faisant remonter cette page autant que j'en aurai la possibilité.

Vous pouvez continuer à visiter mon blog car je réussis quand même à l'alimenter. Et  il y a près de 500 billets à découvrir ou redécouvrir ; même vos commentaires sont les bienvenus. Si, si, je sais que solliciter des commentaires ne fait pas partie du savoir-vivre bloguesque pour certains blogmestres. Je ne sais pas qu'en penser. Pour moi, c'est un lien sympathique qui peut ou non s'instaurer. C'est vrai qu'en ce moment, je ne peux guère vous rendre la politesse.

Vos petits mots, je les lirai avec grand plaisir. Merci de comprendre mon silence relatif, j'aime aussi le silence, ça je l'avais écrit dès l'ouverture de ce blog.

Les pivoines ploient de nouveau sous de grosses fleurs carminées, à l'instar de celles de l'an dernier dont voici un aperçu

Les chardonnerets

Sur les bleuets se balancent

Familiarité !

           Jeanne Fadosi, vendredi 14 mai 2010

Deux mètres et la vitre de la porte fenêtre nous séparaient, mais je les aurais effaroucher en me levant pour aller chercher u appareil photo. Ils étaient trois mâles en train de picorer dans les corolles des fleurs.

~ Billet 419 ~

Je remercie les porteurs de brins de muguet de leur gentille intention.

Il faudra attendre encore un peu pour voir, -peut-être- sortir de terre celui que j'avais planté l'an dernier après l'avoir croqué ainsi rapidement au pastel sec et présenté ici dans le billet Fleurs bonheur.

Pour moi, le 1er mai reste aussi et surtout le symbole de la fête du travail, pas celle officialisée par Pétain, mais bien plutôt celle obtenue de haute lutte, dans la douleur comme à Fourmies en 1891.

Celle toujours à défendre et sauvegarder, non seulement ses acquis sociaux, mais, bien, en ces temps de décadence, le sens et la noblesse du contenu des coeurs de métiers.

A cet égard, ce matin France Inter m'a fait découvrir avec Barbara Cassin cet engagement pour une insurrection des consciences qu'est l'appel des appels qui m'a fait me sentir moins seule, même si je n'agis pas au delà de ce que je pense depuis toujours. Et qui me fait aussi me sentir comme le thème de leur matinale de ce samedi 1er mai être en contre.

~ Billet 394 ~

. . . d' Oxygène et me coincer la bulle dans une délicieuse régression infantile ...

Quand je pense qu'à cet âge-là, je rêvais de tâches ménagères, estimant sans doute qu'imiter sa maman était le top de l'accès au monde des adultes. J'avais pourtant vite compris (Mes premières indignations) que le monde partageait mal ses libertés ...

~ Billet 368 ~

Sur les clowns en miroir, Balaline a posé ces mots, comme un autre miroir plus doux ....

                              Un sourire triste
                         Une bonté d'âme
                         Des fards tapageurs
                         La vie qui défile en rires et en pleurs...

                                    Bonne nuit Jeanne, amitiés, balaline

Merci, Balaline, de ta fidèle amitié.

Et voici les clowns peints par ma soeur Jacotte, mon beau frère m'en a envoyé les photos par courriel ce matin.
 

~ Billet 358 ~

Mamie Claude m'a taguée à la fin de la semaine dernière en me proposant le premier prix du concours des tags ...

Partir pour une île déserte en emportant 7 objets.

Vu l'avis de gros temps qui m'a tiré de mon entre-deux du matin et du lit, par la voie du téléphone portable, je voudrais bien être dotée de pouvoirs spéciaux pour me téléporter illico presto vers cette promesse de paradis.
Et vous savez quoi ? Je n'emporterais rien, et surtout pas cet objet moderne qui ne sert qu'à m'appeler à l'aide !

Comme la télétransportation n'est pas encore au point, et que mes pouvoirs sont aussi opérants que ceux de Gaston Lagaffe, voyons comment atteindre ce havre de paix par les voies existantes.

Posons d'abord la problématique.
Comme être humain, san aucun objet, nous sommes nus comme un ver. Il faut donc partir nu ou compter les vêtements.
Ensuite partir, c'est démarrer, entamer le voyage, sans garantie d'arriver à bon port.
Donc le tag consiste à répertorier les 7 objets que j'emmenerais vers cet eden, à partir d'ici et maintenant.
Vu le thermomètre, impossible de partir nu, et en plus je suis frileuse (brrrr..........!!!!)

Donc, il me faut un pull, un pantalon, des chaussettes (ah zut, il y en a deux), une paire de bottes (ça fait deux de plus, on en est déjà à six) et dans la vraie vie impossible de partir sans pièce d'identité, ça fait sept.

Il ne me reste plus qu'à partir à pied et rejoindre l'île à la nage !

Eh bien, je ne suis pas rendue !


Je fais ce tag qui me défoule ce matin avant une journée qui ne m'enthousiasme guère et qui va encore me tenir hors de portée de cet ordi. Pas de bol, aujourd'hui ma ligne de téléphone marche et mon dos est silencieux.

C'est Mamie Claude, je vous l'ai déjà dit qui m'a gentiment mis dans sa liste de tagués.
Normalement, je devrais inviter sept blogs à rejoindre à leur tour une île déserte avec sept objets.
Je préfère laisser ce jeu ouvert à qui passera par ici et aura envie d'un dépaysement salutaire ou d'une retraite dans la solitude.
Belle fin de semaine à tous et ne soyez pas surpris de mon absence sur vos blogs. La cure sans ordi risque de se prolonger encore une bonne semaine. Mais rien ne vous empêche au contraire d'en profiter pour découvrir les billets plus anciens que vous ne connaissez pas ou de relire ceux qui vous ont plu.