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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 06:00

 

Avec le mot Résistance, enriqueta ouvre grand les portes de l'expression pour ce défi n°139 des CROQUEURS DE MOTS en précisant en fin de présentation :
" Toutes les résistances, de toute nature, de tout lieu et de toute époque sont acceptées pour ce défi."

 

Passée la tentation de s'en tenir à la Résistance avec un R majuscule, nom propre qui désigne (sic le dictionnaire wiktionnaire) "Ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'armistice du 22 juin 1940 jusqu’à la Libération en 1944." le nom commun offre un nombre étonnament grand de polysémies, des sciences dures au vivre ensemble ... ou pas.


Des sens qui relèvent tous, dans des champs sémantiques très différents, de la "qualité" (encore un nom qui prête à toutes les confusions) de qui ou quoi s'oppose avec plus ou moins d'efficacité à l'action d'un autre (humain, animal, groupe, objet etc). Autrement dit et pour simplifier à l'excès, la résistance qualifie l'attitude de forces qui se confrontent.


Quelquefois aussi, à l'instar de la définition de la Résistance avec un R majuscule, le nom résistance glisse vers le dispositif qui permet la ou les actions de résistance.


Je m'en tiendrai à la résistance électrique, qui dans mon souvenir d'enfant, désignait le joli ressort du radiateur d'appoint qui rougeoyait dans la nuit et celles du grille pain ou du four, bien avant mes premières notions d'électricité. J'aurais pu alors y ajouter les diodes ou les transistors du poste de TSF, et même le joli filament blanc des ampoules électriques qui un jour finissait par casser. Et plus tard, les circuits imprimés puis les puces électroniques de plus en plus miniaturisées qui permettent ou non le passage du courant électrique.


J'aurais sans doute, avide d'apprendre sur l'électricité, alors que mon père, électricien, m'en tenait à distance sans explications, comme mes soeurs, mais non mes frères, j'aurais pu apprécier les cours de physique de seconde, mes premiers cours puisque j'avais pris une voie d'études classiques, si le programme avait commencé par là.
Au lieu de cela, l'étude a d'abord porté sur les forces mécaniques et leurs oppositions. Allez savoir pourquoi dès lors mes neurones ont opposé une telle force de résistance à l'apprentissage de la physique !


J'aurais pu laisser mes pensées vagabonder sur d'autres illustrations des résistances, j'aurais pu. Il faut bien que je résiste à la tentation de continuer ce billet déjà trop long. Je sais que j'en ai déjà perdu en route qui n'ont pas résisté à l'ennui et à l'envie d'aller lire ailleurs ce qu'en écrivent d'autres croqueurs de mots.
J'ai toujours regretté de ne pas avoir étudié sérieusement les sciences, mais je n'ai jamais regretté ce que j'ai appris d'autre. Le temps d'un élève n'est pas extensible et je mesure ma chance, par rapport à mes soeurs ainées, d'avoir pu faire des études dites supérieures, en dépit de la force de résistance redoutable de l'atavisme familial.
 

Quand on considère l'espèce de domination que, de tout temps, les hommes ont tenté d'exercer sur les femmes ; la résistance qu'elles n'ont cessé d'y opposer ; le peu de moyens qu'ils ont de se garantir de leur influence, et la parfaite compensation établie entre leurs facultés et leurs devoirs, on finit par se convaincre que toute idée de supériorité d'un sexe sur l'autre est vaine et illusoire, et que cet instinct d'autorité, qui semble inhérent aux hommes, ne leur a pas été donné pour que nous fussions dominées par eux, mais, au contraire, pour qu'ils ne fussent pas dominés par le genre de pouvoir et de séduction qui est notre partage.

Pensée de la princesse Constance de Salm (autrement appelée Constance de Théis), probablement extrait de De la condition des femmes dans une république, 1800

Constance de Théis

Défi n°139 : Résistance

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Constance de Théis, 1767 - 1845, poétesse et femme de lettres française

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Défi n°139 : Résistance

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19 février 2015 4 19 /02 /février /2015 06:00

Puisque enriqueta, pour le défi n°139 des CROQUEURS DE MOTS, nous convie à mettre en ligne un poème ou une chanson qui évoque une forme de résistance, ce poème m'est bien sûr apparu le plus évident ;

Pour la dédicace implicite d'Aragon à Jean Moulin, pour ma propre référence à Raymond Aubrac, autre résistant et grand témoin ;

Pour le dessin enfin ...

 

Mise en ligne précédente 19/04/2012 08:00

Pour ce jeudi en poésie du défi n°79 des CROQUEURS DE MOTS, le mot à mettre en poésie était Dessin.

 

La petite écolière de mon souvenir avait déjà fait Le dessin avec les crayons de couleur le jeudi précédent.

 

Alors, en cette semaine où l'on avait rendu les honneurs militaires à l'un des derniers Grands Résistants de la guerre de 1939-45, Raymond Aubrac, j'avais envie de rendre un hommage posthume à l'un de ses compagnons de route dont la trajectoire a été interrompue comme tant d'autres quelques jours avant que Louis Aragon ne date ce poème. 

Jean Moulin est mort le 8 juillet 1943. Le poème de Louis Aragon est signé du 14 juillet 1943.

 

 

Ballade de celui qui chanta dans les supplices

 

Et s’il était à refaire,

Je referais ce chemin

Une voix monte des fers

Et parle des lendemains.

 

On dit que dans sa cellule

Deux hommes, cette nuit-là,

Lui murmuraient : « Capitule,

De cette vie es-tu las ?

 

«Tu peux vivre, tu peux vivre,

Tu peux vivre comme nous ;

Dis le mot qui te délivre,

Et tu peux vivre, à genoux. »

 

Et s’il était à refaire,

Je referais ce chemin.

Ta voix qui monte des fers

Parle pour les lendemains.

 

Rien qu’un mot, la porte cède,

S’ouvre, et tu sors. Rien qu’un mot,

Le bourreau se dépossède ;

Sésame, finis tes maux !

 

Rien qu’un mot, rien qu’un mensonge

Pour transformer ton destin :

Songe, songe, songe, songe

A la douceur des matins. »

 

Et si c’était à refaire,

Je referais ce chemin.

La voix qui monte des fers

Parle aux hommes de demain.

 

J’ai tout dit ce qu’on peut dire :

L’exemple du roi Henri ;

Un cheval pour mon empire ;

Une messe pour Paris.

 

Rien à faire ! Alors qu’il parte,

Sur lui retombe son sang !

C’était son unique carte,

Périsse cet innocent.

 

Et si c’était à refaire,

Referait-il ce chemin ?

La voix qui monte des fers

Dit : « Je le ferai demain. »

 

Je meurs et France demeure

Mon amour et mon refus.

Ô mes amis, si je meurs,

Vous saurez pourquoi ce fut !

 

Ils sont venus pour le prendre,

Ils parlent en allemand ;

L’un traduit : « Veux-tu te rendre ? »

Il répète calmement :

 

Et si c’était à refaire,

Je referais ce chemin.

Sous vos coups chargés de fers,

Que chantent les lendemains !

 

Il chantait, lui, sous les balles,

Des mots « sanglant est levé ».

D’une seconde rafale

Il a fallu l’achever ;

 

Une autre chanson française

A ses lèvres est montée,

Finissant la Marseillaise,

Pour toute l’humanité.

Louis Aragon, Paris, 14 juillet 1943

 

Deux justifications de le faire figurer sous le thème du dessin lors de ce précédent défi et sous le thème de la résistance pour ce nouveau défi.

 

La première, que certains de mes fidèles lecteurs connaissent déjà, (Pour que chantent d'autres lendemains...) qui était ma manie d'adolescente d'illustrer les poèmes que je retranscrivais soigneusement dans mon anthologie personnelle.

 

Ballade Aragon1

ballade Aragon2

 

La deuxième, évidente quand on sait que Jean Moulin, avant même d'être le chef de la résistance dont on se souvient, fut, sous le nom d'artiste de Romanin, un dessinateur et caricaturiste de talent de l'entre deux guerres.

 

Si vos pas vous conduisent à Bourges, le musée de la résistance et de la déportation du Cher à bourges avait organisé une exposition de ses oeuvres du 18 avril au 15 juillet 2012

 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 06:00

Avec l'indication d'usage que les habitués connaissent par coeur et dont ils peuvent s'agacer. Mais c'est aussi cela transmettre : répéter pour ne pas laisser sur le bord de la route les nouveaux venus ...

Sur l'image du sujet de semaine 7 de miletuneA vous de décider* de la découvrir avant ou après la lecture de ce qu'elle m'a inspirée, au croisement d'autres évocations (images support)

.

Les lecteurs qui sont habitués à mes jeux d'écriture savent sans doute que je fais souvent appel à mes souvenirs, récents ou plus lointains. L'image de la semaine me renvoie à l'été 1976. Je reviens de vacances par le train. Un moyen de transport que je n'utilise plus que rarement depuis que j'ai acheté ma première voiture d'occasion il y a déjà six ans.
Pour l'heure, je suis assise, un livre à la main, pour passer le temps. A mes côtés a pris place un jeune homme, cheveux un peu longs et petite barbiche en broussaille, jean et tea shirt passe partout. A-t-il vu mon regard en biais ? Il éprouve le besoin de se justifier. Se justifier de quoi ?
- j'apprends à tricoter. J'espère que cela ne vous choque pas.
- non, pourquoi dites-vous cela ?
- en général, ça surprend ... et j'ai quelquefois des railleries.
- Des railleries ?
- oui vous voyez bien de quel genre
Moi candide
- non je ne vois pas
- mais si vous voyez. Mais ça n'a rien à voir. L'envie de savoir tricoter ne me transforme pas en femme.
Je commençais à comprendre et je souris
- Ne vous inquiétez pas. Mon père aussi tricote. Il s'y est remis pendant les mois d'immobilisation quand il s'est cassé la jambe. J'ai alors découvert qu'il savait tricoter depuis plus de vingt ans. Il s'y était mis pour soulager ma mère qui ne pouvait plus tricoter à cause d'un rhumatisme articulaire.
- Ah bon ?
- Mais oui ! Il fallait bien faire la layette de la troisième qui venait de naître.
- Alors ça ne vous choque pas !
- Mais non. Pas plus qu'un homme qui sait coudre ou broder ou tisser. Pas plus qu'une femme qui sait planter des clous ou fabriquer des meubles ... ou changer une roue, ou qui a quelques notions de mécanique.
Tenez, en Autriche, pour avoir le permis de conduire, il y a une épreuve obligatoire de mécanique.
Nous avons continué ainsi à bavarder tandis qu'il avançait dans ses rangs de tricôt jusqu'à la station où il est descendu.
- Merci.
Ce fut son dernier mot. Mais j'aime à croire qu'il assumait davantage son goût pour la pratique du tricôt. En convaincre les autres n'en était pas plus évident.


Jeanne Fadosi pour le sujet de la semaine 7 de miletune

* Les mots lus ne sont jamais tout à fait les mêmes que les mots écrits, y compris quand ils sont relus par leur auteur. Les mots impulsés par une image échappent eux aussi, et c'est tant mieux, à un seul déterminisme bi-univoque. Mais il n'est pas gratuit de lire sans voir l'image, ou en l'ayant vu ou en la voyant. Quel que soit votre choix, découvrir l'image support avant ou après, vous ne pourrez remonter le temps pour comparer les expériences.

Le choix de l'une interdit les autres.

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 06:00

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Chat noir pour la carte blanche donnée par lilou, capitaine de quart du défi n°138 des CROQUEURS DE MOTS;

Et bien sûr, le plus célèbre d'entre eux, le cabaret de Montmartre ouvert par Rodolphe Salis et qui doit sa notoriété notamment à Aristide Bruant

.

Le Chat Noir
La lune était sereine
Quand sur le boulevard,
Je vis poindre Sosthène
Qui me dit : Cher Oscar !
D'ou viens-tu, vieille branche ?
Moi, je lui répondis :
C'est aujourd'hui dimanche,
Et c'est demain lundi ...

{Refrain:}
Je cherche fortune,
Autour du Chat Noir,
Au clair de la lune,
A Montmartre !
Je cherche fortune ;
Autour du Chat Noir,
Au clair de la lune,
A Montmartre, le soir.

La lune était moins claire,
Lorsque je rencontrai
Mademoiselle Claire
A qui je murmurai :
Comment vas-tu, la belle ?
- Et Vous ? - Très bien, merci.
- A propos, me dit-elle,
Que cherchez-vous, ici ?

{Refrain}

La lune était plus sombre,
En haut les chats braillaient,
Quand j'aperçus, dans l'ombre,
Deux grands yeux qui brillaient.
Une voix de rogomme
Me cria : Nom d'un chien !
Je vous y prends, jeune homme,
Que faites-vous ? - Moi... rien...

{Refrain}

La lune était obscure,
Quand on me transborda
Dans une préfecture,
Où l'on me demanda :
Etes-vous journaliste,
Peintre, sculpteur, rentier,
Poète ou pianiste ? ...
Quel est votre métier ?

{Refrain}

Aristide Bruant, 1884

Affiche de Théophile-Alexandre Steilen, 1896
Affiche de Théophile-Alexandre Steilen, 1896

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Ecouter Le chat noir par Aristide Bruant

Le chat noir, célèbre cabaret de Montmartre créé en 1881 par Rodolphe Salis

Le chat noir, revue hebdomadaire créée en janvier 1882 par Rodolphe Salis et Emile Goudeau pour assurer la promotion du cabaret

Aristide Bruant, écrivain et chansonnier, 1851 - 1925

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 06:00

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Oui C'est en image que lilousoleil nous propose le défi n°138 des CROQUEURS DE MOTS

Je vais juste vous proposer une image que vous traiterez comme vous le souhaitez
Une inspiration ou pas, une prose ou des vers, une langue belle, ou une langue verte
Faites vous plaisir, faites-vous plaisir.
Vous utiliserez l’image dans son entier, ou des morceaux ou des couleurs…

lilousoleil

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En image ... et de chair et d'os

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L'image est une page de sélection du cahier de l'OBS. Intention graphique pour objets très chers et impossibles à utiliser dans la vraie vie.

Si le bonnet étam est à 12,90 euros, une minaudière Prada vaut 1500 euros.

Une minaudière ? je connaissais l'objet entrevu à la main des peoples dans des magazines ou aux cérémonies de remises de prix. Je découvre le nom. Pour quoi faire ? Minauder avec le diable ?

Je pensais que ces objets n'avaient que la fonction d'être montré sur papier glacé.

Pourtant ...

Elle a une silhouette menue de femme-enfant, un visage triangulaire entre chat et souris qui rappelle celui de Françoise Sagan, jeune, des cheveux blonds et aussi fins que sa peau est claire, un trois-quarts en fourrure de léopard ou de panthère, ou d'ocelot. vraie ou fausse fourrure je ne sais. Je ne vais pas lui poser la question. Aux pieds de ses jambes d'adolescente, une paire de converses dorées à semelle, parements et lacets blancs.
J'allais oublier un phone à housse genre mynnie mouse, ou kytie, je ne sais plus ... Elle avait des oreilles en peluche en tous cas et je crois qu'elle était rose gamine.
L'égérie d'une Une de magazine, en chair et en os. Les visiteurs de l'exposition sont rares en ces lendemains de tragédie. Nous goûtons amèrement le silence et l'espace laissé par les classes qui ont dû annuler leurs sorties.
Je ne savais pas que l'on pouvait, en vrai, s'habiller ainsi. Et pour personne puisque apparemment, elle est seule.
Barbarella ? espionne ? ultra-riche désoeuvrée ou créatrice de mode ?
Moi qui croyais que ces objets n'étaient fait que pour figurer dans les pages promotionnelles des journaux, du moins ceux qui vendent ainsi, sans trop y regarder, aux marchands du temple, le prix de leur autonomie éditoriale.

Je ne sais s'ils peuvent ainsi préserver leur liberté d'expression. Ne dit-on pas que le diable se cache dans les détails ?

Jeanne Fadosi, dimanche 8 février 2015, pour Croqueurs de mots.

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 06:00

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Carte blanche accordée par lilousoleil pour les poésies du jeudi de ce défi n°138 des CROQUEURS DE MOTS qu'elle nous propose en image. Pour autant ces cases de couleurs vives parmi les grises, d'objets insolites et finalement vains, me donnent l'envie de rééditer ce texte chanté par Greame Allwright2

 

Première mise en ligne pour le défi n°93 des CROQUEURS DE MOTS (10/01/2013 11:45). C'était, en attendant le nouveau défi, l'envie de continuer à surfer sur les vagues des âges de la vie ou vers des chemins de traverse en toute liberté.

 

Petites boîtes très étroites

Petites boîtes faites en ticky-tacky

Petites boîtes, petites boîtes

Petites boîtes toutes pareilles

Y a des rouges, des violettes

Et des vertes très coquettes

Elles sont toutes faites en ticky-tacky

Elles sont toutes toutes pareilles

 

Et ces gens-là dans leurs boîtes

Vont tous à l'université

On les met tous dans des boîtes

Petites boîtes toutes pareilles

Y a des médecins, des dentistes

Des hommes d'affaires et des avocats

Ils sont tous tous faits de ticky-tacky

Ils sont tous tous tous pareils

 

Et ils boivent sec des martinis

Jouent au golf toute l'après-midi

Puis ils font des jolis enfants

Qui vont tous tous à l'école

Ces enfants partent en vacances

Puis s'en vont à l'université

On les met tous dans des boîtes

Et ils sortent tous pareils

 

Les garçons font du commerce

Et deviennent pères de famille

Ils bâtissent des nouvelles boîtes

Petites boîtes toutes pareilles

Puis ils règlent toutes leurs affaires

Et s'en vont dans des cimetières

Dans des boîtes faites en ticky-tacky

Qui sont toutes toutes pareilles

 

Paroles: Malvina Reynolds1 (En), Adapt: Graeme Allwright2. Musique: Malvina Reynolds   1962 Titre original: "Little boxes"

Retrouver le texte original en anglais sur le site dédié à Marina Reynolds : Littles boxes 
1.- Malvina Reynolds, 1900 - 1978, chanteuse auteur-compositeur et Marina Reynolds Song Lyrics and poems
2.- Graeme Allwright, né en 1926, chanteur, adaptateur, auteur-compositeur
et en souvenir d'un magnifique concert, donné dans les prés humides un printemps des années 1970, pour une simple fête de village.
morizot-berthe_berceau_1872_orsay.jpg
Berthe Morizot, le berceau, 1872
clic sur l'image pour la retrouver  sur le site où je l'ai emprunté.
informations sur le tableau Musée d'Orsay
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