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21 août 2017 1 21 /08 /août /2017 17:00

qui a raison de l'être et qui a le cran et la notoriété de le dire haut et fort

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8 août 2017 2 08 /08 /août /2017 08:00

Mise à jour de La carte mentionnait un camping édition précédente 4 janvier 2017

8 août 2017 : Je pourrai intituler ce jour Délit de solidarité. Ce n'est même plus de la colère mais une infinie tristesse. 

Et à l'attention de Cédric Herrou, la justice, indépendante, des juges, surtout dans cette région que j'observe de loin assez peu accueillante aux étrangers, n'ont pas besoin d'être aux ordres pour délivrer ce genre de condamnation moralement déshonorante pour ceux qui condamnent.

Une triste occasion de rééditer le récit de mes vacances de 1977 où le camping prévu dans notre feuille de route soigneusement préparée avait disparu quelques mois plus tôt conséquence d'un tremblement de terre.

Janvier 2017 : les voeux pour la nouvelle année percutaient une actualité judiciaire que je n'aurais pas cru possible dans mon pays lors de ce voyage en Roumanie en été 1977, quelques mois après un violent séisme qui avait dévasté une partie de ce pays et de la Bulgarie.

Mais ce n'était pas un hasard si j'avais mis en ligne ce billet  le 13 janvier 2012 où l'on avait vu réactiver une très vieille loi que nous avons alors appelé "délit de solidarité".

Dans ma très grande naïveté (et je ne suis pas la seule), je croyais cette loi abrogée. En réalité elle a seulement été "édulcorée" (adjectif beaucoup entendu dans les medias aujourd'hui).

Je vous avais prévenu que pour LE CASSE-TÊTE DE LA SEMAINE de Sherry, je publierais plusieurs billets.

voir aussi Carte (1) ; Carte (3)

 

Nous avions soigneusement préparé notre itinéraire pour ce voyage programmé de longue date. Pas question de s'en écarter dans cette Europe de l'Est qui tolérait les individuels mais leur interdisait en Roumanie d'être reçus chez l'habitant.

 

Seulement voilà, il fallait bien se rendre à l'évidence, le camping repéré sur la carte était passé sous le nouveau lit de la rivière !

Comment faire ...

Pour savoir ce qui nous est arrivé, je l'ai raconté en décrivant  Vaşile et j'avais rendu hommage à la solidarité et au courage de la famille de sa collègue (texte que je viens de rééditer Ici --->) en présentant le film welcome (Welcome ! Salut  ... solidarité).

 

Cette belle rencontre m'a valu d'échanger pendant quelques années des courriers et cartes illustrées avec  Vaşile, comme cette carte de voeux dépliante 

 carte roumaine2   

 

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6 juillet 2017 4 06 /07 /juillet /2017 15:15

Pierre Henry est mort cette nuit, à quelques heures de l'ouverture du Festival d'Avignon, à quelques jours des cinquante ans de la création en juillet 1967 du ballet du chorégraphe Maurice Béjart sur la musique de Messe pour le Temps présent qu'il avait spécialement commandé à Pierre Henry et Michel Colombier, dans la Cour d'honneur du Palais des Papes.

Les dépêches titrent le "compositeur", "père de la musique concrète" ou "père de la musique moderne" "grand-père de la techno" ...

"Compositeur", c'est bien peu dire pour ce musicien hors norme qui a su à la fois capter l'air du temps et le projeter dans la post-modernité, en évitant l'écueil de l'éblouissement des phares du trop grand succès et l'enfermement idéologique du penser et faire nouveau à tout prix.

« Les compositeurs travaillent avec des sons à tout faire, l’équivalent des notes de musique. Moi, je n’ai pas de notes. Je n’ai jamais aimé les notes. Il me faut des qualités, des rapports, des formes, des actions, des personnages, des matières, des unités, des mouvements. /…/ C’est insuffisant, les notes. Ça n’est rien. Ça se perd. C’est bête. On ne peut pas travailler avec les notes. Les notes, c’est bon pour les compositeurs. »
Pierre Henry, Journal de mes sons, Actes Sud, 2004

wikipedia - Pierre Henry

« Il faut prendre immédiatement une direction qui mène à l'organique pur. À ce point de vue, la musique a été beaucoup moins loin que la poésie ou la peinture. Elle n'a pas encore osé se détruire elle-même pour vivre. Pour vivre plus fort comme le fait tout phénomène vraiment vivant. »
Pierre Henry, Pour penser à une nouvelle musique, 1950

wikipedia - Pierre Henry

1949 - 1950, Pierre Henry a 25-26 ans et collabore à l'écriture de Symphonie pour un homme seul, de Pierre Schaeffer, chorégraphiée par Maurice Béjart en 1955

le film premier prix au festival mondial de Rio de Janeiro en 1957 débute par ces mots écrits :

« L'HOMME, hanté par les bruits, par l'agitation mécanique, crie sa peur ...

emmuré vivant, menacé par la foule anonyme, il ne trouve plus dans l'amour un refuge

pour échapper à l'anéantissement total, il lui faut s'évader, s'élever, atteindre ... »

film Symphonie pour un homme seul, voir ci-dessus

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8 mars 2017 3 08 /03 /mars /2017 18:13
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8 janvier 2017 7 08 /01 /janvier /2017 18:00

Je remonte des profondeurs de ce blog un article mis en ligne le 26 avril 2012, en écho à celui de Quichottine, Virtuels réédité ce matin de dimanche 8 janvier 2017 et faisant suite à une réédition de Commenter

 

le thème proposé par Enriqueta nécessitait de déborder dans les coulisses de la réflexion. Ma participation pour les CROQUEURS DE MOTS se trouvait dans mon billet intitulé   Fragments d'une chronique japonaise, de Ryoko Sekiguchi.

 

C'est pour ces envies d'à côtés par rapport aux consignes des défis, jeux ou exercices des communautés, et pour m'en tenir (dans le billet principal) à leurs consignes autant que possible, que j'avais créé Coulisses et contrechamps de nos blogs, (vite abandonné par manque d'échos : le concept était je crois mal compris).

 

Pour compléter ou revenir sur un billet plus ancien aussi, préciser ou modifier ce qui y avait été présenté.

 

La possibilité d'y mettre en lumière autrement les commentaires suscités était vite apparu.

Mais peut-être que ces "coups de projecteur" intimidaient-ils : les commentaires se sont raréfiés.Sans décourager les commentaires importuns. Chacun "apprivoisait" les possibilités des blogs et autres moyens d'Internet, leurs inconvénients aussi et les administrateurs des plateformes tatonnaient comme leurs utilisateurs. (ajout du 08/01/2017)

Enriqueta nous avait donc proposé pour ce jeudi en poésie le nom ou l'adjectif  "virtuel"

Voilà un sujet vaste, polysémique, et en pleine mutation en ce qui concerne l'espace numérique qui essaime toujours plus dans nos vies et notre planète.

 

Quand j'ai ouvert mon blog, je l'avais écrit dès mon billet d'accueil comme l'un de mes objectifs ...

 

"Une réflexion sur le réel et le virtuel que je voudrais plus visible."

 

Le nez dans le guidon des itinéraires des communautés que j'aime  suivre, j'ai depuis trop longtemps perdu de vue cette intention ...

 

Pour le jeudi en poésie "virtuel" proposé par Enriqueta pour le défi n°80 des CROQUEURS DE MOTS, j'avais utilisé cette photo pour illustrer quelques fragments d'une "chronique japonaise", de Ryoko Sekiguchi   

 

bureau-tsunami1 - reduc1

 

Une photo prise en France, le 11 mars 2011, loin du littoral et de tout risque de tsunami, bien plus loin encore du Japon.

Elle m'avait été envoyée vers la fin de janvier 2012 pour illustrer les mots que je posais à la fin de mon auto-portrait.

à propos des mille petits riens de la vie,

du monde comme il va

des moyens de chacun pour se protéger un peu

et bâtir son cocon.

 

Je n'avais pas encore lu, ni même acheté, peut-être, "Ce n'est pas un hasard".

 

Quelques jours plus tard, je recevais de la même provenance ceci :

Cette photo reçue en pixels

dans ma boite à courriels,

accompagnée de quelques mots

 

(j'ai resserré le cadrage des deux photos)

 

hiver2012_reel-et-virtuel---reduc1.JPG

 

"la neige va tenir

cette photo pour illustrer le réel et le virtuel"

 

Ce n'était pas écrit exactement comme cela.

 

Ici ce ne sont que des images. Avec fleurs et désastre sur la première, avec neige et vol d'oiseau sur ciel d'été pour la deuxième. 

En haut simultanéité des temps, incompatibilité des événements, arrêt sur image qui figera l'instant tant que des outils permettront de lire l'image prise à ce moment-là, qui n'est plus.

En bas, rencontre de l'hiver et de l'été, d'un jardin de ville et d'un ciel maritime, par la médiation d'un outil informatique. Réunion dans une même image de deux temps et de deux lieux ...

 

Quelques liens pour pour alimenter la réflexion 

virtuel (wikipedia)

réalité virtuelle (wikipedia)

 

et si vous avez envie d'aller encore plus loin l'ouvrage en ligne de Pierre Lévy Sur les chemins du virtuel

Attention !

A l'époque, je ne modérais les commentaires qu'exceptionnellement. Mais le premier m'a mené à une minutieuse vérification que je commente en réponse.

C'est un spam publicitaire avec lien pour mener à un site aux élucubrations aussi suspectes que trompeuses sous une apparence scientifique.

Je ne peux malheureusement pas le supprimer car dans l'administration, l'accès aux commentaires n'a pas de pagination (ce qui sature la mémoire de mon navigateur puisqu'il faut charger tous les commentaires plus récents) et il n'est pas prévu non plus de pouvoir désactiver leurs liens.

Voilà, s'il en était besoin, un aperçu de ce qui nécessite la modération des commentaires dès lors que l'on ne peut les suivre à la seconde* et que l'on aborde le moindre sujet qui peut être sensible.

* Même ainsi, ne jamais perdre de vue que ce qui a été rendu public ne serait-ce que quelques secondes est susceptible d'être relié sur la Toile même si on l'efface.

 

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25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 18:30

Une date que je ne peux passer sous silence, même si le temps fait son oeuvre non d'oubli et d'acceptation, mais d'estompe et je l'espère de résilience. Ce mot tellement utilisé dans les médias qu'il en devient lui aussi usé.

Quelques formules à bannir
« Il faut, tu dois »— Les personnes qui ont dû affronter des violences ne réagissent pas bien aux impératifs.
« Moi, à ta place »— Franchement, non. Juste. Non. Voilà le meilleur moyen de faire culpabiliser la personne en lui faisant croire que vous feriez mieux qu’elle.
« Absolument, à tout prix »et autres formules jusqu’au-boutistes.
« Je ne te comprends pas »— De loin la pire formule possible. Si vous vous confiiez sur un problème très dur à vivre, vous auriez vraiment envie qu’on vous réponde ça ?

Ministère des familles, de l'Enfance et des Droits des femmes

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9 novembre 2016 3 09 /11 /novembre /2016 14:22
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28 juillet 2016 4 28 /07 /juillet /2016 09:00
Comment or no comment ?

Et vous qu'en pensez-vous ?

Quand j'ai ouvert ce premier blog, j'ignorais tout de ce qui m'attendait sur la Toile. Je pensais juste tester un nouvel outil de communication et ouvrir un espace qui soit une bulle salutaire et sans conséquences dans la grisaille chaotique de mon quotidien. J'avais aussi l'illusion qu'il me servirait de lien avec quelques uns de mes proches utilisant ces nouveaux outils et c'est tout.

J'avais choisi cette plateforme pour le bon compromis entre une présentation adaptable et une prise en mains facile. Je n'étais pas armée pour lutter contre certaines pratiques commerciales encourageant le "bloging" quelquefois jusqu'à l'addiction. A l'époque, pour développer la fréquentation sur les blogs, il leur fallait notamment susciter le dépôt de commentaires. Avoir une bonne note de blogrank permettait sur les blogs gratuits d'accéder à une bien meilleure capacité de stockage et à d'autres options que celles de la formule basique.

J'ai vite pris mes distances. D'ailleurs, je ne me suis aperçue qu'avec retard que je bénéficiais de ces avantages. C'était avant que la publicité qui finançait cette offre de gratuité ne devienne trop envahissante.

Ce classement a fort heureusement disparu avant même le grand changement d'Overblog.

Depuis, il est vrai, le développement d'autres réseaux sociaux et de modes d'expression encore plus expéditifs ont favorisé les like et autres joyeusetés.

Je reviendrai sans doute formuler ici quelques unes de mes réflexions sur la pratique de commenter. Tiens, il n'y a pas de mot dans la langue pour dire cette pratique de déposer et d'échanger par des commentaires. Étrange, non ?

Aujourd'hui, mon propos est plus immédiat.

Ayant décoché l'autorisation de mettre des commentaires sur le billet qui présente mes autres blogs, sans autre action de modification sur le paramétrage des commentaires, mes visiteurs d'hier n'ont pas trouvé le formulaire permettant de déposer des commentaires.

J'espère que mon nouveau paramétrage rétablit les choses. Je rappelle que pour tout un tas de raisons qui ont évolué au fil du temps, les commentaires sont systématiquement modérés.

Ce qui implique que vos commentaires paraissent souvent avec un décalage de quelques heures, car je me refuse à céder au tout tout de suite et à la connection permanente et sur tous supports. Je continue à privilégier une vie sans Internet, sans minimiser l'importance de certains partages à travers mes blogs et les vôtres.

Doit-on parler d'amitié ?

Amitié virtuelle certainement pas. Si le Web a dématérialisé les échanges, les outils sont bien réels (demandez à ceux dont l'ordi ou le smartphone tombe en panne) et de part et d'autre de la Toile, ce sont de vraies personnes bien réelles, qui aiment ou n'aiment pas, rient ou pleurent, respirent, dorment, mangent, boivent, ... vivent ...

Amitié ? J'ai une définition très restrictive de ce sentiment partagé et je compte mes amis sur les doigts de la main, allez, des deux mains en desserrant un peu.

Les autres mots pour désigner la sympathie durable qui lie deux ou plusieurs personnes ont vu leur sens perverti ou dévalué ou distordu vers d'autres sens

camaraderie ; copinage ; fraternité ...

à suivre ...

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12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 08:41

.

... bis repetita ... là il me faudrait un émoticom de circonstance !

J'en viens d'abord à l'essentiel. Décidément, "to be or not to be ..." me vaut bien des bêtises ! 

La traduction de Hamlet n'est pas de Victor Hugo mais de son fils François-Victor Hugo (avec la participation de son père)
.
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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 06:00

 

Avec le mot Résistance, enriqueta ouvre grand les portes de l'expression pour ce défi n°139 des CROQUEURS DE MOTS en précisant en fin de présentation :
" Toutes les résistances, de toute nature, de tout lieu et de toute époque sont acceptées pour ce défi."

 

Passée la tentation de s'en tenir à la Résistance avec un R majuscule, nom propre qui désigne (sic le dictionnaire wiktionnaire) "Ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'armistice du 22 juin 1940 jusqu’à la Libération en 1944." le nom commun offre un nombre étonnament grand de polysémies, des sciences dures au vivre ensemble ... ou pas.


Des sens qui relèvent tous, dans des champs sémantiques très différents, de la "qualité" (encore un nom qui prête à toutes les confusions) de qui ou quoi s'oppose avec plus ou moins d'efficacité à l'action d'un autre (humain, animal, groupe, objet etc). Autrement dit et pour simplifier à l'excès, la résistance qualifie l'attitude de forces qui se confrontent.


Quelquefois aussi, à l'instar de la définition de la Résistance avec un R majuscule, le nom résistance glisse vers le dispositif qui permet la ou les actions de résistance.


Je m'en tiendrai à la résistance électrique, qui dans mon souvenir d'enfant, désignait le joli ressort du radiateur d'appoint qui rougeoyait dans la nuit et celles du grille pain ou du four, bien avant mes premières notions d'électricité. J'aurais pu alors y ajouter les diodes ou les transistors du poste de TSF, et même le joli filament blanc des ampoules électriques qui un jour finissait par casser. Et plus tard, les circuits imprimés puis les puces électroniques de plus en plus miniaturisées qui permettent ou non le passage du courant électrique.


J'aurais sans doute, avide d'apprendre sur l'électricité, alors que mon père, électricien, m'en tenait à distance sans explications, comme mes soeurs, mais non mes frères, j'aurais pu apprécier les cours de physique de seconde, mes premiers cours puisque j'avais pris une voie d'études classiques, si le programme avait commencé par là.
Au lieu de cela, l'étude a d'abord porté sur les forces mécaniques et leurs oppositions. Allez savoir pourquoi dès lors mes neurones ont opposé une telle force de résistance à l'apprentissage de la physique !


J'aurais pu laisser mes pensées vagabonder sur d'autres illustrations des résistances, j'aurais pu. Il faut bien que je résiste à la tentation de continuer ce billet déjà trop long. Je sais que j'en ai déjà perdu en route qui n'ont pas résisté à l'ennui et à l'envie d'aller lire ailleurs ce qu'en écrivent d'autres croqueurs de mots.
J'ai toujours regretté de ne pas avoir étudié sérieusement les sciences, mais je n'ai jamais regretté ce que j'ai appris d'autre. Le temps d'un élève n'est pas extensible et je mesure ma chance, par rapport à mes soeurs ainées, d'avoir pu faire des études dites supérieures, en dépit de la force de résistance redoutable de l'atavisme familial.
 

Quand on considère l'espèce de domination que, de tout temps, les hommes ont tenté d'exercer sur les femmes ; la résistance qu'elles n'ont cessé d'y opposer ; le peu de moyens qu'ils ont de se garantir de leur influence, et la parfaite compensation établie entre leurs facultés et leurs devoirs, on finit par se convaincre que toute idée de supériorité d'un sexe sur l'autre est vaine et illusoire, et que cet instinct d'autorité, qui semble inhérent aux hommes, ne leur a pas été donné pour que nous fussions dominées par eux, mais, au contraire, pour qu'ils ne fussent pas dominés par le genre de pouvoir et de séduction qui est notre partage.

Pensée de la princesse Constance de Salm (autrement appelée Constance de Théis), probablement extrait de De la condition des femmes dans une république, 1800

Constance de Théis

Défi n°139 : Résistance

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Constance de Théis, 1767 - 1845, poétesse et femme de lettres française

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Défi n°139 : Résistance

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(clic sur son regard pour comprendre ... un peu)

 

Profitez des instants de la vie :

le temps s'écoule à sa cadence,

trop vite ou trop lentement,

sans retour possible

N'oubliez pas que

"Tous les matins du monde sont sans retour"

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