Et toujours Entre ombre et lumière
encore sur les Grands Boulevards, à Paris
ou au Musée d'Orsay (l'ancienne gare d'Orsay) : les horloges servent de fenêtres pour admirer au loin Montmartre
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Et toujours Entre ombre et lumière
encore sur les Grands Boulevards, à Paris
ou au Musée d'Orsay (l'ancienne gare d'Orsay) : les horloges servent de fenêtres pour admirer au loin Montmartre
Tel est le thème de cette semaine Entre ombre et lumière sur G+ avec Nathalie qui a repris le flambeau de Hauteclaire.
Les derniers jours de l'heure d'été ont été ponctués par ces pubs incitant à changer de montre ...
Eh bien, vous savez quoi ? Il y a tant d'objets qui indiquent l'heure maintenant, en digital plus qu'avec les aiguilles, que j'ai décidé de ne plus en porter.
quelque part sur la façade d'un immeuble sur une avenue de Paris
un détail de l'horloge astronomique de la cathédrale de Beauvais
Et juste pour vous faire sourire si vous avez encore un peu de temps clic sur La pendule de Mémé Gudule
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11/02 sous-bois | 18/02 ponts | 25/02 fontaines | |
04/03 escaliers | 11/03 palette de couleurs | 18/03 falaises | 25/03 mon animal préféré |
01/04 plans d'eau | 08/04 fenêtres, ... fleuries | 15/04 kiosques | 22/04 motos |
29/04 cactus | 06/05 souvenir d'enfance | 13/05 barques | 20/05 cadran solaire |
27/05 brume | 03/06 gargouilles | 09/06 puits | 17/06 ruelles |
24/06 traces | 01/07 regard | 08/07 idem | 15/07 rose |
22/07 idem | 29/07 sculptures éphémères | ||
26/08 idem | |||
16/09 Rond-point | 23/09 fleurs sauvages | 30/09 châteaux d'eau | |
14/10 dessins d'enfants | 28/10 cimetières | ||
18/11 fruits et légumes de saison | 25/11 cocooning | 02/12 musique | |
16/12 vitrines décorées | 23/12 Noël | 30/12 pause révisions |
Entre ombre et lumière et en photos : 2010 ; 2011 ; 2012 ; 2013 ; 2014
Entre ombre et lumière avec Nathalie Krell qui a pris le relais de Hauteclaire
C'est le thème de cette semaine, en lien sans doute avec le 1er ou 2 novembre qui en plusieurs pays sont les jours où l'on fête les morts.
Les cimetières ne sont pas des lieux tristes, plutôt des lieux de calme et si possible de sérénité.
J'ai en tête, mais je n'en ai pas de photos, les jolis prés parsemés de croix et de petites fleurs en Suède ou le si bien nommé cimetière joyeux de Sapanta dans le Maramurès en Roumanie. (clic)
Sans aller aussi loin, voici quelques photos qui feront le lien avec le sujet des couleurs de l'automne de la semaine dernière
La foule des vivants rit et suit sa folie,
Tantôt pour son plaisir, tantôt pour son tourment ;
Mais par les morts muets, par les morts qu'on oublie,
Moi, rêveur, je me sens regardé fixement.
Ils savent que je suis l'homme des solitudes,
Le promeneur pensif sous les arbres épais,
L'esprit qui trouve, ayant ses douleurs pour études,
Au seuil de tout le trouble, au fond de tout la paix !
[ ... ] Victor Hugo, Dans le cimetière de, Les rayons et les ombres, 1840
Le poème en entier (clic)
complément à 11h : j'ai oublié de préciser que ces photos sont celles du cimetière de Pantin, l'un des grands cimétières parisiens, immense oasis de verdure et de silence au milieu de la ville
et deux en un avec ce trompe-l'oeil aux couleurs d'automne sur un château d'eau de ma région, Entre ombre et lumière
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C'est le thème de ce mardi Entre ombre et lumière, animé maintenant par Martine Krell
Un thème incontournable pour mettre en valeur ce qui fait le charme de cette saison prémisse des rigueurs de la saison morte : la panoplie de couleurs fauves et or.
petite route de campagne dans le vexin français
étang de la Herse près de Bellême (Orne - France)
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~ Billet 130 première mise en ligne 20 juin 2009 vers 15h~
réédition pour le thème Dessins d'enfants d'Entre ombre et lumière
pour comprendre le titre, j'ai mis un post-scriptum
Le thème de la semaine est devenu casse-tête pour l'été sous la houlette de Dana.
Pour sourire, proposé par Nicole Fleuret, je me demande bien pourquoi : quoi de plus facile que de donner un sourire, juste un mouvement des petits muscles, là, vous voyez bien, de chaque côté des coins dess lèvres. Non pas une grimace, juste un sourire qui donne un peu de légèreté à la personne qui le reçoit !
Casse-tête que de sourire dans un monde de crise, de tragédie, lourd de menaces et d'enfermement des libertés.
Casse-tête que de sourire malgré l'étrange tourment des humains prompts à condamner la joie en lui attribuant des odeurs de soufre.
Casse-tête de faire un acte gratuit dans un monde où tout se monnaye.
Pourtant, sans doute parce que je suis dans une période de nostalgie souriante, de celles qui font du bien et avancer vers le futur, quand j'ai trouvé cette enveloppe et son contenu, ce fut une évidence. Personne n'était avec moi pour comtempler le sourire qui se dessinait jusqu'aux coins des yeux, jusqu'aux gouttelettes de larmes d'émotion embuant ma vue.
Je n'ouvre pas souvent cette chemise de vieilleries qui contiennent ces petits trésors avec sur l'étiquette dossier maman. J'y cherchais l'original de son livret de travail dont je vous ai déjà livré quelques extraits, pour le rescanner dans des formats plus commodes.
J'étais en cours élémentaire et nul doute que la photographie m'attirait déjà grave, comme diraient les d'jeunes de maintenant.
Je ne pourrais vous dire si ce texte est de moi, mais vu sa maladresse et l'abus de passés simples (que nous venions d'apprendre), je serais tentée de le penser.
Une dernière précision " je plou gerai " trahit une légère tendance à la précipitation sinon à la dyslexie. Il convient de lire à la place " je prolongerai ta jeunesse ".
Maintenant, si quelqu'un reconnait cette poésie et en connait l'auteur, je serais ravie de le préciser sur ce feuillet de papier jauni.
Le thème de cette semaine entre ombre et lumière, animé par Nathalie Krell, est "dessins d'enfants"
En voici un, vieux, fait à 4 mains (droite ou gauche selon) sur un post it à la mode des images d'antan
et un autre fait à la craie et sans doute disparu depuis bien longtemps :
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A la ferme, c'est le thème de cette semaine Entre ombre et lumière sur G+ avec Nathalie Krell
J'ai grandi en Normandie d'abord dans une petite "ville1" de 4 000 habitants environ puis à la campagne dans un hameau de quelques "feux2" comme on disait encore alors pour désigner les unités d'habitations, à la périphérie d'un bourg de 800 habitants qui comportait de nombreuses fermes de grandeur et d'aisance bien différentes.
Les "grandes" fermes de mon enfance n'auraient sans doute même plus la superficie minimum pour être autorisées à en transmettre l'exploitation aux enfants ou à un tiers.
Fermes et maisons avaient toutes leurs potagers, souvent un verger (à pommes à cidre et à couteau3) des clapiers de lapins et un poulailler.
Nous avons même eu des oies et un jard dont je garde un cuisant souvenir au mollet un soir où j'étais allée relever les oeufs et où je lui avais imprudemment tourné le dos.
Plus récemment tout près de chez moi, mes réveils étaient rythmés par l'éveil d'un basse-cour voisine et le chant du coq me manque.
1.- une ville est en général définie par son statut, sa population et la densité de son habitat.
En France une ville est une commune d'au moins 2000 habitants et dont les habitations sont à moins de 200 mètres l'une de l'autre. En Algérie, c'est une agglomération de plus de 20 000 habitants ; en Suisse, une commune d'au moins 10 000 habitants ou ayant ce statut depuis le Moyen-Âge
2.- un feu ou un foyer désignait l'unité d'habitation sous laquelle vivaient une ou plusieurs personnes. En général, une famille.
Le nombre de personnes habitant ensemble se comptaient en "âmes".
3.- la pomme à couteau est tout simplement la pomme de table que l'on peut manger crue telle quelle ou cuisinée (compotes, tartes etc)
Les pommes à cidre ont d'autres qualités permettant la fabrication du cidre mais ne sont pas bonnes à déguster sans transformation. Quant au jus de pomme à consommer avant fermentation, c'est une question de goût.
A la ferme entre ombre et lumière (1)
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Sur les blogs, les jeux d'écriture témoignent de la vitalité
de la langue française sans tapage
et chaque jour
je n'oublie pas Anne-Sophie
et ses compagnes d'infortune :
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015 ; 123 en 2016 et en 2017 ; 121 au moins en 2018 ; 150 en 2019 (au moins 122 confirmés)
(clic sur son regard pour comprendre ... un peu)
Profitez des instants de la vie :
le temps s'écoule à sa cadence,
trop vite ou trop lentement,
sans retour possible
N'oubliez pas que
"Tous les matins du monde sont sans retour"