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18 avril 2014 5 18 /04 /avril /2014 10:07

 

Je vous l'accorde, le jeu de mots n'est certes pas à la hauteur de cet immense talent littéraire. De toutes façons, il n'est pas de ceux avec qui l'on peut rivaliser.

C'est un grand, un très grand, encore un, qui a disparu jeudi 17 avril 2014. 

Un romancier, un prix Nobel de littérature, journaliste engagé, activiste politique aussi.

Son ouvrage majeur, Cent ans de solitude est considéré comme une oeuvre maîtresse de la littérature universelle.

Et même si je n'ai lu que celui-là, et même si cela fait longtemps, voilà encore un roman que je mets sur ma pile à relire. Ou plutôt sur ma liste de livres à emprunter à la bibliothèque car celui-là, je ne l'ai pas dans mes rayonnages.

 

Hommage à Gabriel García Márquez, 1927 - 17 avril 2014

 

Gabriel_Garcia_Marquez_plaque_-_Rue_Cujas-_Paris_5.jpg

plaque commémorative 5 rue Cujas, Paris VIème

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 14:00

       En préalable, mes excuses pleines de confusion pour avoir mal orthographié son nom. Voilà qui est réparé mais plus de deux jours en ligne ainsi c'est bien long. J'en suis désolée.

 

Elle est morte à 78 ans hier jeudi 3 avril 2014, des suites d'une crise cardiaque.

J'ai lu nombre de ses livres et si j'ai apprécié en son temps La bicyclette bleue, et les romans qui lui faisaient suite, j'avais été déçue par la version fade et convenue de leur adaptation à l'écran.

 

Pourtant, c'est un aspect de son talent d'écrivain qui est peut-être moins connu auquel je pense, celui de la conteuse et en premier lieu Léa au pays des dragons lu et relu au coucher avec d'autres faisant partie de la contes liste de mes enfants. 

deforges-regine-lea-au-pays-des-dragons-livre-897329610_ML.jpg

 

Une femme libre et rebelle qui a beaucoup dérangé évidemment. y compris dans ce conte qui bousculait en 1982 les chemins établis ;

 

Une femme à l'opulente chevelure rousse, un roux choisi en étendard.

Faut-il rappeler combien, encore au début des années 1980, loin déjà de la seconde guerre mondiale qui avait marqué la fin de la discrimination des juifs, (du moins celle qui pouvait s'afficher impunément) moins loin des événements lamentables des débuts des années 1960 à l'encontre des maghrébins, sans trop de "gens du voyage" souvent confinés derrière le rideau de fer, un esprit plutôt d'ouverture, sinon bienveillant, envers les asiatiques, forcément des réfugiés victimes de régimes totalitaires, envers les africains, forcément victimes des famines et de la désertification ... sachant rester discrets et même invisibles, il ne restait guère que les roux et les gros qui pouvaient être raillés et malmenés sans qu'il soit encouru de sanctions pénales et morales.

 

Ah si, j'oubliais les femmes. C'est, c'était l'un de ses combats.

 

Donc Femme et Rousse : la sulfureuse, la flamboyante Régine Deforges

la jeune fille du Cahier volé, qui m'a fait entrer dans son univers d'écriture.

 

Régine Deforges, 1935 - 3 avril 2014, écrivaine et éditrice française

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 19:00

Dernière minute en bas de page 

 

Les frères Lumière, ce sont les héros du cinéma dont on cite en premier les noms en bons chauvins de français. Peut-être accepterions-nous de citer aussi Méliès.

Qui serait nommé dans les autres pays qui ont fait le cinéma ?

 

Je laisserai de côté les polémiques stériles ...

pour saluer aujourd'hui deux événements

 

Le premier qui attriste évidemment toute la profession et bien au-delà tous les amateurs de cinéma.

 

J'évoque bien sûr la mort de Alain Resnais, survenue sans surprise samedi soir du 1er décembre 2014 à 91 ans.

Né en 1922, tombé dans la marmite du cinéma grâce à une caméra 8mm reçue pour ses 12 ans, excusez du peu, admis au concours de l'IDHEC en 1943 dont il fut l'un des élèves de la première promotion.

Rodant son métier de réalisateur pendant une quinzaine d'années avec des courts et des moyens métrages, il est distingué dès les premiers et notamment Van Gogh, en 1947, pour lequel il est récompensé à la biennale de Venise et aux Oscars du court métrage en 1950 et tout au long de sa longue carrière de plus de 70 ans consacrée au cinéma jusqu'à ce surprenant prix Alfred Bauer, l'une des catégories  des ours d'argent du Festival international du film de Berlin attribué à son tout dernier film qui sortira dans les salles à la fin du mois de mars 

Aimer, boire et chanter

une récompense attribuée à "un film qui ouvre de nouvelles perspectives cinématographiques ou offre une vision esthétique novatrice et singulière"

 

Il nous a offert en un peu plus de quarante ans un vingt long métrages, tous de qualité. 

Je n'ai pas vu sur grand écran ses derniers films depuis On connait la chanson, mais je garde l'émerveillement de la projection de L'année dernière à Marienbad au festival du film de La Rochelle de 2007. Je crois me souvenir que c'était dans la grande salle de la Coursive et, était-ce la perception lié à mon âge ? il m'a semblé qu'il n'avait pas pris une ride.

 

 

mon-oncle-d-Amerique.jpg

Mon oncle d'Amérique, un autre film que j'aimerais revoir

 

Et ce sera possible demain soir mercredi 5 mars à 20h45 sur ARTE qui a choisi ce film pour rendre hommage à Alain Resnais, suivi en deuxième partie de soirée d'un autre de ses films (Mélo)  

  voir Hommages à Alain Resnais sur ARTE et France Culture

A suivre ...

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 12:00

boni du vendredi en bas de billet 

 

François Cavanna est mort mercredi 29 janvier 2014

Dessinateur et caricaturiste, journaliste, écrivain. il est co-fondateur du journal satyrique Hara-kiri puis de Charlie-Hebdo

 

Et quand bien même Daniel Mermet nous a invité dans son  hommage, en rediffusant aujourd'hui une émission de fin mai 2010,  à ne pas jouer aux vieux cons, il m'est bien difficile d'y échapper.

 

Je me suis en effet plongée dans un livre que des collègues m'avaient offert pour ma retraite, il y a dix ans.

 

Cavanna-murs-de-la-classe.jpg

 

Surtout quand, passée l'introduction de la première partie, Cavanna commence ainsi l'évocation des leçons d'antan au filtre de sa propre enfance :

La morale. La morale c'est pas dur. Les dictées, ça oui c'est dur. Le calcul aussi, même pire. Mais la morale, non. Le maître nous explique bien bien, mais nous, on le savait déjà, ce qu'il nous explique. Par exemple qu'il faut respecter ses parents et leur être obéissant. Ou que c'est malhonnête de voler. Ou que ne pas se dénoncer quand on a commis une bêtise, c'est une lâcheté et ça peut faire punir toute la classe, et alors c'est une injustice, en plus.

Je veux dire, la morale, c'est pas dur à comprendre, mais à faire, là, ça peut être dur, des fois. Parce que la morale, c'est de s'empêcher de faire des tas de choses qu'on a envie de faire, ou alors de se forcer à faire des choses qu'on n'a pas envie. Par exemple, il y a un nouveau, dans la classe, il n'arrive pas à parler, il fait bé-bé-bé ..., il bégaie, c'est ça. Nous, ça nous fait rire, c'est normal. On se moque de lui. Eh bien, la morale c'est qu'il ne faut pas rire, parce que ça lui ferait de la peine, et alors il pleurerait, et nous on serait des chenapns et des sans-cœur. C'est comme ça, la morale.

[ ...

François Cavanna, Sur les murs de la classe, éditions hoëbeke, octobre 2003, page 9

 

Est-ce si démodé que cela ? Cette présentation de la morale, faite avec le sourire, n'est-ce pas un socle sur lequel tout le monde ou à peu près pourrait s'entendre ? Mais attention, après, ça se complique ! 

 

François le rital, ton regard, ton acuité, ton coup de crayon, ta plume, nous manque déjà cruellement en cette actualité plombée

 

Boni :

l'hommage de François Morel, France Inter vendredi 31 janvier 2014, 8h55

 

celui de Cabu dans le Parisien du vendredi 31 janvier 2014

 

lire aussi mon billet poupées russes, en principe ... (4)

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10 décembre 2013 2 10 /12 /décembre /2013 07:17

 bougie et bleuet - reduc

 

un exemple

un modèle

un guide

 

à toujours

à jamais

 

Ecouter Raymond Depardon sur France inter

racontant la minute de silence de Nelson Mandela, filmée en 1993

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:20

 

Je n'allume jamais ni la radio ni la télévision quand je rentre de la chorale.

Allez savoir pourquoi je l'ai fait ce soir pour entendre cette nouvelle.

 

«Notre peuple a perdu son père, a déclaré le président sud-africain. Nous avons une dette

de gratitude à la famille Mandela qui a tellement sacrifié pour que notre peuple soit libre»

Président sud-africain Jacob Zuma, 5 décembre 2013, 22h45 (heure française)

 

Depuis plus de cinq mois maintenant, le monde entier savait ce moment inéluctable.

 

Il avait été ramené à domicile dans un état critique après trois mois de traitement à l'hôpital et recevait des soins intensifs

L'un de ses enfants disait mardi dernier :

«Tata (Père) est toujours avec nous, très fort, (...) très courageux,

même — faute d'une meilleure expression — sur son lit de mort.

Je crois qu'il nous donne toujours des leçons :

des leçons de patience, des leçons d'amour, des leçons de tolérance»

 

Des leçons qu'il continuera à donner par son exemple.

 

Je pense à la belle chanson de Henri Salvador, Le lion est mort ce soir

mais, j'ai envie ce soir de murmurer cette berceuse Zulu ou Xhosa (le Xhosa étant la première langue la plus pratiquée derrière le Zulu en Afrique du Sud)

Thula baba, thula sana

 

Thula thul, thula baba, thula sana, 

Thul'u babuzo ficka, eku seni. (Répétition) 

Kukh'in khan-yezi, zi-holel 'u baba, 

Zim-khan yi-sela indlel'e ziyak-haya, 

Sobe sik hona xa bonke être-Shoyo, 

Be-thi bu-Yela u-bu-vous le khaya, 

Thula Thula Thula Baba, 

Thula Thula Thula sana, 

Thula Thula Thula Baba, 

Thula Thula Thula san.

 

Du calme mon enfant

Ne pleure pas mon bébé

Soit tranquille, papa sera à la maison à l'aube.

Une étoile le guidera jusqu'à la maison.

L'étoile éclairera le chemin de la maison

et les collines et les pierres

sont toujours les mêmes mon amour.

 

Que ma vie a changé ... oui ma vie a changé !

Nos enfants grandissent sans qu'on le sache, mon amour

Nos enfants ont grandi sans qu'on les ait vu grandir

 

 

"Mandela nous a appris à vivre ensemble"

Desmond Tutu

 

colombe rd

 

Nelson Rolihlahla Mandela, 18 juillet 1918 - 5 décembre 2013

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 11:00

 

Lino Ventura, Jean Gabin, Jean Lefebvre, Francis Blanche, Bernar Blier, Paul Meurisse, Michel Simon, Louis de Funès, Michel Serrault, Jean Carmet, Robert Mitchum, ...

 

Henri Verneuil, Michel Audiard, Gérard Oury, Robert Bresson, Jean-Pierre Melville, Max Ophüls, claude Berri, Gilles Grangier, Sacha Guitry, Yves Robert ... et tant d'autres ...

 

Pour rendre hommage à ce grand cinéaste, j'ai commis ce petit texte en mettant presque bout à bout une bonne partie des films de Georges Lautner.

 

Sauf :

Qu'il en manque sans doute encore quelques uns

et surtout que j'ai malicieusement glissé des intrus, titres de films produits par d'autres réalisateurs et scénaristes.

Les retrouverez-vous ?

 

Dernière minute :

J'ai cherché dans les affiches de ses films de quoi illustrer ce billet.

J'ai appuyé sur le bouton publier puis je suis allée prendre connaissance du sujet de la semaine chez Mil et Une.

Alors, oui ce petit texte y trouve bien sa place :

Chapeau l'artiste !

 

 

Est-ce L'Invité surprise dans l'actualité de ce début de semaine qui l'a troublé ? Comme un remake de certains de ses films ?

Il a pris La Valise Sur la route de Salina vers le Pays d'où l'on ne revient pas :

Le Pacha va pouvoir manger tout son saoul Des pissenlits par la racine et retrouver au paradis du cinéma Les Bons Vivants que sont Les barbouzes et Les Tontons flingueurs.

Il est parti rejoindre La Môme aux boutons et Le septième juré, La grande Sauterelle et Michel Strogoff.

 

Quelques messieurs trop tranquilles ont conseillé au Suspect : Laisse aller, c'est une valse. Entre ces mains-là, Pas de problème ! Les secrets continueront à être bien gardés dans La Maison assassinée.

L'Inconnu dans la maison des médias était-il un Prêcheur en eau trouble ? L'espion qui venait du froid ?

Flic ou voyou, il ne leur a pas fallu plus de 48 heures pour retrouver Le Professionnel qui en son temps n'avait malheureusement pas été Présumé dangereux. On l'a retrouvé En plein cirage grâce à L'oeil du monocle. En effet Les voisins voyaient bien que Le monocle rit jaune depuis que Le cowboy, solitaire ou pas, jouait chez lui L'Invité surprise.

Depuis l'été, il avait beau se dire Ne nous fâchons pas, celui-ci ne se sentait sans doute pas très à l'aise de jouer les Room service

 

Arrêtez les tambours. C'est fini de commander Marche ou crève

Il est parti rejoindre La Môme aux boutons et Le septième juré, La grande Sauterelle et Michel Strogoff.

Dommage, il aurait pu faire un nouveau film culte avec ce scénario tout trouvé !

 

Hommage et chapeau bas ! Monsieur Lautner !

 

les-tontons-flingueurs2.jpg
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3 novembre 2013 7 03 /11 /novembre /2013 11:00

 

Avec une infinie tristesse, en humble hommage à deux reporters

 

photographe en clair obscur - reduc

Reporter et ou photographe, photo en contre-jour prise à la journée d'ouverture

du Festival d'Ile de France de 2011

 

Pour mémoire 

Festival d'IdF 2013 : thème ALTER EGO, MUSIQUES EN PARTAGE, avec, au Domaine de villarceaux, voix d'Afrique du Sud

Festival dIdF 2012 : thème DIASPORAS, MUSIQUES EN PARTANCE et en ouverture à villarceaux, les multiples couleurs de la musique de NEW YORK

Festival d'IdF 2011 : thème D'UN MONDE A L'AUTRE Cette journée à Villarceaux focalisait sur les Terres de Bretagne

Festival d'IdF 2010 : thème IVRESSES Musiques entre Ciel et Terre, débutant la saison à Villarceaux avec Viva Argentina

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et pour compléter

Festival d'IdF 2014 : thème TABOUS, MUSIQUES ET INTERDITS, avec, au Domaine de villarceaux, Colombia !

Festival d'IdF 2015 : thème AVENTURES, MUSIQUES VAGABONDES, avec, au Domaine de Villarceaux, Maroc en scène

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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 14:00

 

Il va y avoir un trou d'air dans mon espace bloguesque. Plus de ses chansons du samedi et du dimanche qui correspondaient si souvent à mes goûts, plus de ses timbres avec lesquels il me faisait réviser les grands événements de l'Histoire récente ou plus lointaine ou des sciences ou des arts etc. Plus de ses commentaires quelquefois simples 

 

Bel après midi avec bises
Commentaire n°7 posté par patriarch le 22/08/2013 à 13h49

 

C'est son tout dernier commentaire sur mon blog et pour cause, auquel je n'ai répondu brièvement que quelques jours plus tard, sans prendre le temps d'aller sur son blog.

 

C'est par le Cahier à spirales de Quichottine, et encore, visité cet après-midi après ma sieste, que j'ai appris la triste nouvelle du décès de Patriarch.

 

L'ironie du calendrier, c'est qu'en début d'après-midi j'ai suivi l'émission La tête au carré de France Inter sur le thème les réseaux sociaux et l'amitié.

 

J'ai fait quelques billets ici rebondissant sur un texte que Bernard Pivot a consacré au mot "vieillir" dans l'un de ses derniers livres, Les mots de la vie

Ce sujet lui a inspiré plusieurs commentaires. Je n'ai pas prêté assez d'importance à lire entre les lignes du premier

 

Ce n'est pas l'âge qui rend vieux, ou plutôt rend la vie moins facile. Pour moi, c'est l'asbestose et la myasthénie et encore plus l'asbestose que la myasthénie que j'ai appris à gérer. L'asbestose ne se gère pas et progresse avec les années....

Tu as raison, notre génération a une belle vieillesse en vue... 

Pourtant celui de Quichottine s'inquiétant pour lui aurait dû m'alerter.

 

Il faut dire à ma décharge qu'un peu plus tard , Patriarch m'a déposé celui-ci :  

Vieillir... c'est occuper sa vie d'une autre façon que lorsque l'on travaillait. On a tout son temps pour l'enrichir au contraire.....
 patriarch l

ou encore ... 

Pourquoi ? Ne se considère t-il pas comme un vieillard.....

Bonne journée Bises
Commentaire n°6 posté par patriarch le 18/08/2013 à 09h41

nb, Patriarch parle ici de Bernard Pivot

 

Ce soir j'ai envie de rendre mon petit hommage de peu, à ce monsieur que je ne connaissais pas, mais dont les échanges, par blogs interposés, dont l'exemple de vitalité, en dépit des maux de son âge, étaient de ceux qui me permettaient de croire en la nature humaine et de continuer à dire

 

"rien ne vaut la vie"

 

A Eliane, sa femme, qu'il associait souvent à son salut dans un 

"Bises de nous deux"

A ses enfants, ses petits enfants ...

 

S'il-vous-plait, ne fermez pas son blog, pas tout de suite. Il y a dedans une mine d'informations et de témoignages.

J'ai tout particulièrement apprécié quand il évoquait ses souvenirs de compagnon, de maitre-ouvrier.

Un témoignage précieux pour les plus jeunes et tous ceux qui n'ont pas vécu cette vie-là.

 

Respect, Patriarch, Walter. Et merci.

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 10:47

 

Hommage à alain Mimoun, né en 1921 près d'Oran décédé le 27 juin 2013 à 92 ans.

Ayant réussi son certificat d'études primaire avec mention bien, la république lui refusa la bourse d'études qui lui aurait permis de devenir instituteur et de former combien d'élèves ...

Gravement blessé au pied pendant la campagne d'Italie, en janvier 1944, il échappe de peu à l'amputation.

Après la guerre, il est garçon de café tout en s'entrainant à la course de fond dont il devient dès 1947 un des grands.

 

MimounZatopek.jpg

Emil Zatopek, grand marathonien, son grand rival et ami, félicitant Alain Mimoun qui vient de remporter le marathon aux jeux olymapiques de Melbourne en 1956.

Liens : 

L'athlète français du siècle

Alain Mimoun - wikipedia

Alain Mimoun - l'Equipe

 

 

 

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 Ephéméride de ce jour

 

et chaque jour

je n'oublie pas Anne-Sophie

les yeux dAnne-sophie

et ses compagnes d'infortune :

145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015 ; 123 en 2016 et en 2017 ; 121 au moins en 2018 ; 150 en 2019 (au moins 122 confirmés)

(clic sur son regard pour comprendre ... un peu)

 

Profitez des instants de la vie :

le temps s'écoule à sa cadence,

trop vite ou trop lentement,

sans retour possible

N'oubliez pas que

"Tous les matins du monde sont sans retour"

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