25 avril 2010
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~ Billet 412 ~ insolite
Dans la tendance kitsch pour le thème du mois d'avril, je vous ai juste montré un baromètre en regrettant soudain de ne plus avoir ces délicieuses figurines qu'on avait offert à ma fille et qui rosissaient ou bleuissaient au gré de l'humidité de l'air. Eh bien, figurez-vous qu'en cherchant une carte postale, j'ai ouvert un cartons de babioles, ces choses qu'on oublie au fond d'un placard mais dont on hésite à se débarrasser.
Elles ont perdu dans se séjour prolongé à l'ombre leurs propriétés à se colorer.
Dans la série kitsch, les anglais ont un merveilleux savoir faire comme en témoigne cette vitrine que je vous avais montré ici Quand l'imaginaire s'expose .
Pour le rendez-vous de l'insolite, animé par Canelle56.
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6 avril 2010
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~ Billet 397 ~
Le thème de ce mois-ci pour les rendez-vous de l'insolite est Kitsch ! Le hic, c'est que cette notion, comme celle d'insolite dans une moindre mesure, est devenue une appréciation particulièrement subjective !
La peinture qui vire au rose ou au bleu en fonction de l'humidité de l'air a fait les beaux jours d'objets grenouilles et baromètres.
J'ai une paticulière tendresse ou celui-ci dont j'ai un très vague souvenir dans un coin de ma toute petite enfance et qui n'existe plus qu'en photo.
Inutile de chercher où je suis sur la photo, car vu l'âge des fri - mousses, j'étais encore "dans les talons de mon père", comme il se plaisait à dire en souriant ...
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15 mars 2010
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~ Billet 383 ~
Pour le rendez-vous de l'insolite conduite par Canelle56 dont le thème de ce mois-ci se trouve dans le ciel,
croix céleste
par Jeanne Fadosi
Vous pouvez la voir aussi dans Devinez l'humeur des nuages et vous pourrez en connaitre le secret de fabrication dans Des cloches et des oeufs
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11 janvier 2010
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~ Billet 324 ~
Et pour ne pas être en reste avec mon évocation de savoureux cafés, voici une vitrine ancienne qui évoquera peut-être une autre époque.
cliché proposé pour Le rendez-vous de l'insolite
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30 décembre 2009
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~ Billet 309 ~ (ex-catégorie le geste du colibri)
Pour le dernier geste du Colibri (pour 2009) de la communauté Colibri zen,
proposé par Laure H,
Mes bonnes résolutions écologiques ?
Continuer mes bonnes habitudes
Mais que valent des millions de petits gestes
Quand à la ville voisine
L'éclairage public et les illuminations de fête
S'allument dès quatre heure du soir ?
Alors je ne veux qu'une seule résolution, à prendre par tous,
Mais se traduisant dans les faits :
STOP A LA DESTRUCTION DE LA PLANETE !!!!!!!!!!!!!!
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20 décembre 2009
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~ Billet 299 ~ (ex catégorie le geste du colibri)
(Précédent ...)
(ou Si vous avez manqué le début ...)
Le dernier argument, celui qui faisait l'objet de l'ire de La Dame, l'Arbre, mon père aurait pourtant dû se souvenir que j'en approuverais la colère. Je n'avais pas la parole mais je l'ai prise sans hésiter lorsque j'ai enfin su que tout ce tumulte venait d'un arbre qu'il ne fallait pas abattre.
Evidemment qu'elle avait raison. Un arbre, c'est bien plus important. Il faut du temps pour qu'un autre repousse. Qu'est-ce que cela vous coûtait de faire passer la ligne électrique par un autre chemin ?
Il aurait dû se souvenir de mon dépit, de mon chagrin, de ma rage quand on avait fait disparaitre le cerisier du jardin pour y construire un nouveau garage et des logements.
Un arbre était précieux pour la Diva. Bien plus précieux qu'acheminer du courant électrique à un batiment de ferme.
Il faut dire qu'en Grèce la rareté des arbres en faisait davantage apprécier la valeur.
Certes, sa conscience écologique puisait peut-être ses racines dans des fréquentations qui n'avaient pas toujours eu autant de scrupules dans la grande Histoire.
Pour autant, fallait-il en rejeter l'idée sous le prétexte qu'elle était portée ou récupérée au milieu d'autres idéologies nauséabondes ?
Il m'était évident déjà que le progrès des hommes ne serait qu'illusoire s'il se faisait, comme je le pressantais à quelques signes, contre la nature et non avec elle.
Comme il m'était évident que le progrès ne signifiait pas une croissance sans fin, telle celles d'humains qui continueraient à grandir jusqu'à leur mort. Et je ne devinais pas encore qu'elle se transformerait en cancer.
Fin
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19 décembre 2009
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~ Billet 296 ~ (ex catégorie le geste du colibri)
(précédent...)
( ou Si vous avez manqué le début ...)
Mon approbation n'était pas acquise !
Le deuxième argument de mon père lui semblait irréfutable. Comment pouvait-on, sous le prétexte d'être l'amie de Quelqu'un, faire fi par quelque caprice d'une décision professionnelle, calculée avec rigueur par des techniciens et user du bon vouloir du prince ! Comment osait-elle ? Comment osaient-ils ?
Mais je me souvenais qu'il n'encensait pas autant ce travail des "cols blancs" mon petit papa quand il discutait avec son fils, l'un des calculateurs.
- Les portées sont trop longues. Vous réduisez trop le nombre de poteaux. Ce sont des fausses économies.
- Mais si, les calculs ont été optimisés et il a été tenu compte des probabiltés de rupture.
- Et le poids du givre vous y avez pensé ?
- Mais oui, on a réduit la distance de deux écarts-type. ...
Mon père n'avait pas fait de probabilités ni de physique. Mais il était capable à la seule observation des lignes dans les airs d'en déceler toutes les fragilités. Il se trompait rarement quand il prévoyait des pannes sur tel ou tel tronçon.
Il n'y avait pas si longtemps, le fameux hiver 1956, le poids du givre en avait rompu des lignes, en plein nuit. Il était parti souvent sur les routes verglassées, dans le brouillard givrant, dérangé dans notre sommeil par la sonnerie insistante du téléphone de fonction. Quand un fermier à la pointe de la modernité voulait que le courant soit rétabli pour l'heure de la traite.
Oh, ce n'était pas le fermier moyen qui s'était équipé. Ce n'était que le tout début des trayeuses électriques.
Tiens, ceux-là aussi devaient avoir de l'influence pour jeter mon père et ses ouvriers d'astreinte sur des routes dangereuses et ma mère dans l'angoisse tant qu'il n'était pas rentré.
Le deuxième argument n'était pas plus efficace que le premier. à suivre ...
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18 décembre 2009
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~ Billet 295 ~ (ex catégorie le geste du colibri)
(Début...)
Mais pourquoi donc était-il si courroucé, mon papa ?
Pensez donc, c'est la première fois qu'il voyait cela, être empêché d'exécuter l'installation selon le cahier et les plans fournis.
Mais pour qui se prenait-elle cette enquiquineuse !
Ah c'est sûr qu'elle avait du coffre et de la répartie.
Et mon père de rapporter les propos de la diva ... en imitant le mauvais français, l'accent grec et la voix qui partait dans les aigus avec toute la fureur dont elle avait la réputation. Ah, ce n'était pas mal imité ! Je l'avais déjà entendu causer à la radio.
Ah, oui, sa réputation de terreur n'était pas usurpée. Elle a fait téléphoner sur le champ à Monsieur ... (ma petite tête de petite fille n'a pas mémorisé le nom et/ou la qualité de cette personne qui était sans doute un élu ou un représentant de l'Etat centralisé. N'oublions pas que l'histoire se passe dans les années cinquante)
Monsieur ... a immédiatement contacté le chef de Papa qui lui a immédiatement demandé ...de dévier la ligne.
Vous n'avez pas le suspense, mais nous, nous n'avons pas su tout de suite l'obstacle à éviter.
Normalement, les tracés des lignes électriques, et l'écartement entre deux poteaux étaient calculés et portés sur des plans au bureau d'études du département en fonction de la topographie.
D'abord, se faire ainsi humilier par une femme devant ses ouvriers lui restait visiblement en travers du gosier.
Maman, prudemment, et aguerrie par déjà plus de vingt cinq ans de mariage, ne fit aucun commentaire à cette allusion, mais je voyais dans ses yeux qu'elle n'en pensait pas moins. Quant à moi, je n'avais pas l'âge d'y mettre mon grain de sel, sauf à y être expréssement invitée. Et ce n'était pas le cas.
Mais La Calas, je connaissais et j'admirais. Elle faisait partie de mon pathéon de princesses à l'âge où les petites filles aiment encore se persuader qu'elles croient aux fées et aux princesses.
Et j'avais déjà depuis plusieurs années un point de vue sur la réalité du mot égalité.
Je l'ai évoqué dans le billet Mes premières indignations...
Mon approbation n'était pas acquise ! à suivre ...
La callas, à la mine graphite*, d'après une photo Baron/archives Pathé Marconi/EMI contenue dans le livret de ce CD
dont vous imaginez bien que je suis en train d'écouter la voix de l'incomparable.
Une amie m'en avait offert le coffret il y a quelques années, les autres incomparables étant Montserrat Caballé et Jessie Norman.
Bien entendu, ce choix n'est en rien exhaustif et parmi les petits bijoux de cette fin d'année, 2009 je me délecte aussi avec Sacrificium de Cécilia Bartoli.
*Le premier qui me dit que ce n'est pas tellement ressemblant, ne fera pas un scoop. Mais quoiqu'il en soit, je ne suis pas mécontente de lui avoir fait cet air sévère, vu les circonstances, à partir d'une photo souriante, et vraissemblablement, un peu arrangée, comme il était de coutume à l'époque.
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12 décembre 2009
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~ Billet 290 ~ (ex-Rendez-vous de l'insolite)
Pour contiuer la collection des véhicules anciens et insolites,
(vous avez déjà vu la dame en side-car...),
impulsée par le thème du mois précédent de la communauté
Le rendez-vous de l'insolite, désormais pilotée par Cannelle56
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29 novembre 2009
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~ Billet 277 ~ (ex-Rendez-vous de l'insolite)
Pour le rendez-vous de l'insolite reprise par Cannelle56, et en écho à Berhed,
Il arrivait que de belles limousines se prennent pour d'autres belles bêtes lors du comice agricole, pour le Corso fleuri.
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