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un des rares billets de mon éphémère communauté coulisses-contrechamps et contre-chants
En coulisses ... à propos du point de Bayeux
jeudi dernier (le 2 février) j'ai illustré Le sonnet de l'oiseau d'une broderie faite il y a quelque temps par ma soeur Jacotte
Elle s'était intéressée avec beaucoup de bonheur et de réussite au point de Bayeux
(clic sur les images pour les agrandir)
Le point de Bayeux se nomme ainsi pour désigner l'ensemble des techniques utilisées pour broder la célèbre Tapisserie de Bayeux, ancêtre prestigieuse de nos bandes dessinées modernes.
N'ayant pas pratiqué ce point moi-même, et même si ma soeur Jacotte m'en a montré gentiment les étapes, je ne me lancerai pas dans une démonstration hasardeuse.
D'autant que les professionnelles de cette bonne ville de Bayeux le font sur le site BAYEUX BRODERIE bien mieux que je ne saurais le faire
Techniques simples donc, comme le dessin au fusain, la peinture au pinceau, faire des sons avec les touches blanches et noires d'un piano.
Reste le plus important : la patience et l'habileté du geste en suivant un bon modèle
Le choix subtil des couleurs, des formes, des scènes ... ce qu'on appelle le talent ou la créativité.
Quelques autres liens sur le point de Bayeux et ses composantes
Le point de Bayeux sur capmode
Le point de tige,(toutes les "filles" de ma génération et au-delà l'ont appris à l'école élémentaire)
J'arrête là car il est de nombreuses brodeuses et quelques brodeurs sur cette Toile tisseuse de liens qui sauront bien mieux vous indiquer les meilleurs sites explicatifs comme les miroirs aux alouettes à éviter.
Juste une dernière remarque, vous remarquerez peut-être que la broderie de ma soeur est plus régulière que celle de Bayeux. Imaginez simplement ces brodeuses, dans la pénombre de demeures aux ouvertures petites, au pire ouvertes à tous vents, au mieux protégées du froid par les moyens de l'époque ... avant l'utilisation du verre à vitres et de sa transparence bienfaisante
Petit rappel de ma communauté Contrechamps et contre-chants, que j'aurais aimé renommer avec le recul, (mais ce n'est pas possible chez OB, sauf à la supprimer et à en recréer une autre)
Coulisses*, contrechamps et contre-chants
* hors champs si l'on veut poursuivre les métaphores
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Pour faciliter la migration de mon blog vers la nouvelle plateforme, je pense plus simple de n'avoir que des articles et donc je transforme et complète mes pages en articles.
J'ai procédé ainsi pour les anciens messages d'accueil.
Mon premier avatar :
Mon deuxième avatar :
Ma première bannière :
Mon avatar actuel :
Ma bannière actuelle sur la page d'accueil et sur la page des articles :
Ma bannière actuelle pour les pages :
Et pendant que j'y suis, un petit rappel des avatars de la communauté Coulisses et contrechamps de nos blogs au moment où je l'ai légèrement modifié
et devient
Bientôt les fêtes ...
c'est le thème du mois suggéré par Nadia-vraie pour les rendez-vous de l'insolite dont elle a gentiment repris la barre.
... et je commence à cogiter la manière dont je vais faire la crèche cette année ...
... pour éviter d'y découvrir un drôle de petit Jésus !
Bien sûr que je vais en faire une cette année encore, plus que jamais !
Je m'en étais expliquée dans ce billet du 18 décembre 2010.
(ex catégorie chronique des jours d'antan)
Envie d'un peu de sourire sous ce ciel gris de fin novembre, pour ne pas se laisser envahir par l'ombre.
Envie de prolonger un peu le billet de la poule au pot, car, à partir de la Sainte catherine, le dicton jardinier dit que l'on peut planter les rosiers à racines nues.
Envie de vous faire partager à nouveau cette vieille photo de famille (années 1925 ... quand la "demoiselle" au centre de la photo, la superbe étoile, a eu ses 25 ans)
Ses collègues midinettes, déjà et encore catherinettes, lui avaient fabriqué un bien beau chapeau.
autres billets avec cette photo :
Quand les midinettes fêtaient leur entrée parmi les vieilles ;
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Pour les rendez-vous de l'insolite, pilotée maintenant par Nadia-vraie, je ne sais distinguer s'il s'agit de racines aériennes, de lierres ou d'autres lianes ou un mélange des deux.
Quand la Toile et/ou OB bégaient, j'imagine que les tuyaux du Net leur ressemblent
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un des rares billets de mon éphémère communauté coulisses-contrechamps et contre-chants
Aurait-on trop évoqué le triangle des Bermudes ces derniers temps avec LE CASSE-TÊTE DE LA SEMAINE ? ou les étranges étrangers de l'univers avec la disparition des blondes aux CROQUEURS DE MOTS ?
Pourquoi faut-il que j'ai fait une ode au vin du Bordelais programmée la semaine dernière bien avant les dernières péripéties de communication politiciennes ?
Je suis en colère que ce billet soit mal interprété ou pire encore récupéré.
Initialement, j'avais développé cette remarque dans le billet consacré aux dernières turbulences d'OB, malgré l'intention de ce billet.
Par souci de clarté j'ai mis cette parenthèse dans cet autre billet que je publie ici.
Qu'on se le dise : les joies que je décris dans Défi n°68 : l'instant d'après ... n'ont pu être apportées par notre père à notre famille que grâce aux luttes sociales de 1936 et de 1945 qui ont conduit aux acquis sociaux qui sont en train d'être jetés aux orties dans nos sociétés bien plus opulentes que celles de ces époques.
1945 : nos dirigeants étaient encore en culotte courte et se foutaient que leurs mères aient encore à user de tickets de rationnement jusqu'en 1950.
1945, l'Europe sortait tout juste de la guerre avec des champs de ruines et tout à construire et reconstruire ... autrement.
C'est grâce à la réunion des sociétés de production de l'électricité et à la nationalisation de EDF qui en est résulté, et parce que les entreprises publiques, EDF, SNCF, GDF, Air France, Renault, etc. (pardon ne de pas les citer toutes) étaient en pointe dans les avancées sociales, à travers le dynamisme de leurs comités d'entreprise, animés à l'époque par l'esprit qui avait initié l'organisation coopérative et mutuelle, que mon père avait les moyens de commander presque tous les ans, un ou deux ou trois tonnelets de petits crus à mettre en bouteilles et bonifier.
La bonne société empesée et snob ne s'y serait pas retrouvée dans nos fêtes.
Pas plus que dans nos fins de banquets faits de discours, d'histoires drôles (sans obcénités), de chansons (même pas paillardes), de bonne humeur SANS SAOÛLERIES.
J'en ai vu au restaurant, de ces cols-et-montés, guindés au début de leurs repas et abominables de vulgarité et de brouillard éthylique avant même la fin de leurs soirées.
Nos agapes n'étaient pas des orgies. Notre plaisir à déguster de l'excellent vin à petites gorgées parcimonieuses n'était pas de vider des bouteilles. Notre plaisir était de sublimer notre odorat et nos papilles, pas de nous rouler sous les tables.
La bouteille de Sainte Croix du Mont de 1950, l'unique, la soi-disant dernière, ouverte pour mon vingtième anniversaire, a dû être partagée entre sept ou huit adultes, plus l'équivalent d'un demi-centimètre cube pour les enfants grâce à des verres à liqueur dont la forme permettait d'en mettre peu sans paraître pingres.
Alors oui, je suis en colère, contre ces puissants plein de morgue, qui sont en train de détruire avec constance et cynisme l'espoir et la jeunesse de notre planète.
Il y a d'autre joie que dans la débauche, d'autres bonheur que dans de mauvaises ivresses ... car il n'y a que de mauvaises ivresses.
La sobriété n'est pas abstinence, encore moins privation, tristesse ou morosité.
Ceux qui se goinfrent de caviar à la louche en connaissent-ils encore le goût ? Ceux qui refusent par idéologie toute forme d'art et de dégustation savent-ils qu'ils s'amputent de ce qui est aussi fondamental à notre vitalité que l'air ou l'eau ?
Il y a d'autres voies que ces extrêmes aussi vains et dangereux l'un que l'autre.
un des pastels que j'ai fait d'après une photo du net et dont le thème était de travailler sur les transparences.
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Aurait-on trop évoqué le triangle des Bermudes ces derniers temps avec LE CASSE-TÊTE DE LA SEMAINE dernière Triangles ? ou les étranges étrangers de l'univers avec la disparition des blondes au défi n°68 des CROQUEURS DE MOTS ?
Pourquoi faut-il que j'ai fait une ode au vin du Bordelais programmée la semaine dernière (défi n°68 : "l'instant d'après ...") bien avant les dernières péripéties de communication politiciennes ?
Je suis en colère que ce billet soit mal interprété ou pire encore récupéré.
Initialement, j'ai développé cette remarque malgré l'intention de ce billet. Par souci de clarté je mets cette parenthèse dans un autre billet que je publie ICI.
Nous sommes loin du titre de ce billet me direz-vous, loin du triangle des bermudes et des OVNIs.
Sauf que depuis que j'ai rejoint mes pénates, j'ai pu constater qu'un nouveau bug sévissait sur la planète Over-Blog. Et que les news et les notifications semblaient être tombées dans un grand trou noir. Pfffft .... volatilisées ...
depuis le 12 novembre très tôt
Comme les jolies vaches de Jill Bill ou les clochettes de celles d'Alba
Sauf pour quelques uns qui se sont plaint de recevoir la même notification .... 6770 fois par exemple
Je le sais car devant ma perplexité au silence relatif de ma boite mel, je suis allée faire un tour sur le forum d'aide, n'ai rien vu sur lles derniers fils d'aides, ai ouvert le fil bugs, suis tombée sur le fil ouvert par AlbumRJ avant de voir l'autre fil : Avertissemet de publication d'article (transcrit avec la faute de frappe)
Aux dernières nouvelles (mardi 15/11 11h et des poussières), il y a des frémissements d'amélioration.
Mais le 14, il y avait déjà plusieurs pages de messages dont je n'ai lu (j'avoue) que les deux premières.
et j'ai écrit ceci lundi 14/11 à 14h58 :
pas de notifications de publications d'articles depuis le 12/11 à 0h20. 3 avis de commentaires reçus avec beaucoup de retard le 13 pour le 12. depuisplus rien. dernière newsletter reçue le 12/11 vers 20h30. Je suis chez orange et navigue avec google chrome.
J'ai ouvert internet depuis une autre connection le 12 au matin avec un cable, simplement ouvert mon blog avec mon navigateur et déposé des commentaires dont habituellement j'ai une réponse.
auquel j'ai trouvé un peu plus bas le message de Fabrice (un membre du staff) posté à 16h29 et dont je n'ai comme pour le reste, pas reçu de notification (pourtant cochée avant de poster mon message :
Bonjour
Tous les emails concernés (notification d'articles, newsletter, validation d'inscription aux newsletters, signalement de commentaire, de réponses, message via le formulaire de contact) sont en cours d'envoi, avec du retard.
Nous avons du supprimer de cette liste une partie des emails, qui auraient dûs être envoyés il y a plus de 48h.
Les emails arrivent en retard, dans le désordre, (plus ou moins lentement en fonction des fournisseurs mails).
Merci de votre patience durant la fin du problème.
Fabrice
Alors c'est vrai, aujourd'hui 15/11/11 où les messages sur ce bug ont continué à être déposés en nombre (et pour cause) ce message de Fabrice figure à la page 9 du fil. Le staff en a déposé d'autres.
Je sais que certains blogueurs ne peuvent pas non plus accéder à leur administration, mais c'est volontairement que je ne mets pas les liens vers les messages du forum d'aide, afin de ne pas ajouter éventellement de problèmes aux problèmes.
Un peu de patience encore. et ces désagréments devraient être surmontés.
Et puis, si l'on en profitait pour s'indigner de la place que l'on donne exagérément aux robots de la finance ou d'ailleurs ?
La ligne d'un nouveau mille en premier ?
Le nombre de mes billets qui affiche 996 avec celui-ci ...
... ou le nombre des commentaires qui affiche 9952 ce dimanche à 18 heures ?
Dommage que le millier de jours soit déjà dépassé ...
Quelle catégorie franchira un chiffre rond (en 000, 0 000) en premier ?
Les pages lues sont hors compétition car les 100 000 ont été franchi déjà.
Belle fin de dimanche !
Sur les blogs, les jeux d'écriture témoignent de la vitalité
de la langue française sans tapage
et chaque jour
je n'oublie pas Anne-Sophie
et ses compagnes d'infortune :
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015 ; 123 en 2016 et en 2017 ; 121 au moins en 2018 ; 150 en 2019 (au moins 122 confirmés)
(clic sur son regard pour comprendre ... un peu)
Profitez des instants de la vie :
le temps s'écoule à sa cadence,
trop vite ou trop lentement,
sans retour possible
N'oubliez pas que
"Tous les matins du monde sont sans retour"