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3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 06:32

~ Billet 213 ~

Quoi, Dana voudrait que je fasse mon autoportrait pour le thème de cette semaine ! En photo, en vers, au crayon, n'importe pourvu que ce soit moi, par moi !

Mais sait-elle la coquine que chez ma tante, on mettait un grand torchon blanc sur la glace de la cuisine (la pièce à vivre en fait) pendant que nous mangions. C'était l'unique miroir accesible en bas. Le grand, sur la cheminée de la salle à manger, nous n'y accédions que dans les grandes occasions. Quant à celui de la chambre bleue, nous l'entrevoyions juste pour le plaisir de cette pièce aussi délicieuse que désuète réservée aux adultes invités. Dans l'autre chambre, où je dormais, je ne me souviens pas de miroir.

Alors sans miroir, comment me dessiner ? Ecrire sur moi ? Je ne le fais pas spécialement mais bien sûr que ce blog en dit beaucoup sur moi, mine de rien.

Et puis zut, vous avez déjà une photo
LA un gros plan sur des outils fort utiles en toutes circonstances.
Tenez, j'ose un autre angle :

pieds.JPG
Pas d'erreur, si je suis sur les photos que je prend c'est ... par erreur :

ombre-portee---reduc.JPG
Et fuyons les miroirs bizarres, si c'est pour avoir la tête à l'envers !
pichet-miroir1.JPG

C'était le pichet que je voulais sur la photo, pas le reflet de la photographe ! grrrrrrrr....

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22 août 2009 6 22 /08 /août /2009 06:00

~ Billet 177 ~

Les épisodes précédents c'est ICI et ICI

8)      Rencontre ou pas les auteurs des livres qu’on a aimés ?

Il n’y a pas de règle. Tout dépend de la personne et des circonstances de la rencontre.

Ce sont des gens comme les autres, à multiples facettes, avec leurs qualités et leurs défauts.

Je n'évoquerai pas les séances de dédicaces qui sont l'incontournable pensum des auteurs à succès. Encore que le paraphe illisible sur la page de L'utopie ou la mort de René Dumont (Seuil 1973), me renvoie au souvenir d'une conférence passionnante et d'une rencontre pleine de simplicité. Souvent, les écrivains les plus sincères répondent avec gentillesse à une invitation dans un cadre pédagogique.
Ceux qui ont lu le billet dans lequel Le crieur voit plus loin savent aussi que je suis des conférences animées par des spécialistes qui sont bien souvent auteurs d'essais sur les sujets abordés.

En premier lieu, vu que l'écriture ne nourrit guère son homme, (façon de parler peu biaisée, les femmes auteures sont sans doute plus nombreuses mais des progrès restent à faire), vous comme moi en avons sans aucun doute côtoyés sans le savoir, tel chargé de rayon dans une grande librairie (le moindre mal), tel vendeur au kiosque de la place Machin, telle perchée dans sa cabine autoroutière, écrivant la nuit entre deux bonsoir d'automobilistes pressés.
Ensuite, certains, dont le succès monte à la tête, ou qui ont tout simplement oublié les codes, oublient, (la répétition est volontaire), de dire bonjour en entrant dans la boulangerie de leur village. Celui-là, que je ne nommerai pas, a peu de chance de se reconnaître. Il a sans doute rayé de sa mémoire les quelques années où il a habité là.
Peu de chance qu'il s'abaisse à lire notre littérature de midinettes.
Alors qu'un autre immensément connu et pourtant encombré d'une poussette dont le bambin me semblait être son petit fils, saluait sans emphase la clientèle de l'épicerie fine tout en négociant avec les deux marches à descendre ! Celui-ci, je peux le nommer puisqu'il se comportait simplement, quoique avec la fierté de sa tardive paternité : c'était Hervé Bazin au début des années 80.

Pour faire bonne mesure, il faudrait aussi nommer les écrivains de l'ombre, les nègres sans qui les VIP seraient bien démunies face à leur agenda surbooké et à leurs dispositions plus ou moins limitées devant la page blanche. Les traducteurs aussi, que l'on oublie souvent de citer et qui apportent leur propre talent d'écriture pour transposer l'intime d'un livre d'une langue à l'autre.
Peut-être l'un de vos enfants a-t-il un prof de langues qui souffre de la misère de notre enseignement linguistique et qui arrondit ses fins de mois en traductions au kilomètre !

J'ai été déçue par certaines rencontres et confortée dans mon opinion par d'autres.
Depuis que je blogue, je lis des blogueurs ou blogueuses qui ont publié et je pense que je ne serais pas déçue de voir Bigornette en vrai, ou Clémentine ou encore Quichotine et ses co-auteurs.
D'ailleurs Bigornette s'est inscrite à un salon organisé dans sa région. Dommage que ce soit un peu loin !
 
 

9)      Aimes-tu parler de tes lectures ?

Oui, échanger ses impressions élargit encore et prolonge le plaisir de la lecture. Avec des amies, nous nous prétons des livres que nous avons aimés. Mais je ne sais pas défendre un livre auprès de quelqu’un qui ne l’a pas aimé.

 

10)      Comment choisis-tu tes livres ?

De multiples manières : dans les librairies ou les rayons librairies de grandes surfaces, c’est au feeling. Il y en a tant. Je lis la 4ème de couverture et j’ouvre au hasard. J’ai souvent la main heureuse. Et la tentation tenace. J’ai bien du mal à ne pas acheter au moins un ou deux livres !

Le thème et une présentation, dans un magazine ou à la radio ou la télé et j’ai noté les références.

Le violoncelliste de Sarajevo, de Steven Galloway, chez JC Lattès j’en ai trouvé une critique enthousiaste dans TéléZ et le conseil était bon (en tous cas je l’ai apprécié).

violoncelliste - reduc
Pour la première fois ce printemps, j’ai suivi la suggestion heureuse de blogueurs concernant « les déferlantes de Claudie Gallay aux éditions du Rouergue, et ce voyage au bout du Cotentin, je n’ai pas regretté non plus de l’avoir fait.

deferlantes2.jpg
Je me suis procuré deux livres de blogamies, Les pirouettes de Bigornette dont j’ai souligné la bonne humeur dans le billet Une recette infaillible du rire léger et la convocation de Clémentine Séverin que j’ai aimé pour des raisons bien différentes car le livre de Clémentine aborde des sujets douloureux et graves.

convocation reduc
11)      Une lecture inavouable ?

Qu’est-ce qu’une lecture inavouable ? Non ce n’est pas la question qui m’embarrassait.

A treize ans, j’ai choisi un des premiers livres de la bibliothèque rose que j’avais lu, en soulignant la nécessité de ne pas oublier sa part d’enfance.

Je craignais les quolibets de mes camarades de classe ! Ils ont applaudi mon courage et ce sont les adultes qui ont ironisé sur ma démarche. Il faut dire que notre jeune prof de français ne savait pas non plus que les automates sophistiqués avaient des accus*  pour fonctionner et avait rayé d’un grand trait rouge rageur ma description technique (sur un autre sujet).

(*terme accepté dans les revues techniques pour accumulateurs, ancêtres des piles électriques)

Partant du principe que pour comprendre et critiquer avec pertinence, il faut connaître, il m’arrive de lire même ce qui ne me plait pas. Quand je peux les emprunter car alors je n’aimerais pas, mais pas du tout, payer des droits d’auteurs à des auteurs dont je réprouve les idées. Mais il y a des limites que je m’impose, d’ailleurs, ce genre de littérature ne parvient pas jusqu’à moi.

J’espère aussi ne jamais connaître une vie où suggérer la lecture de Matin brun aurait des conséquences néfastes. (voir marron paradoxe)

J’ose croire que c’est seulement l’ardeur du soleil qui a mis le feu aux chaumes dans la campagne !

 

12)      Des endroits préférés pour lire ?

Bien calée dans un fauteuil et surtout dans mon lit avant de m’endormir. C’est pourquoi je peste après ces bouquins qui pèsent des kilos. Ou au milieu de la nuit entre deux sommes. Mais c'est pour cela que j'apprécierais des livres divisés en tomes plus légers. Certains pavés (au sens physique du terme, pas dans son contenu) que je prendrais volontiers comme livres de chevet, sont bien trop encombrants ! 

 

13)      Lire et manger ?

Pas même le journal.

C’est s’absenter des gens avec qui on est sensé partager un repas. C’est un moment de rencontre, le repas.

Et même seule. Un plateau repas devant la télé oui. Mais lire demande d’être entièrement à la lecture. Sans compter qu’avec ma  maladresse, je ferais des taches.

 

14)      Livres empruntés ou livres achetés ?

Les deux, Je regrette que les bibliothèques ne soient pas plus nombreuses. Le réseau des bibliothèques départementales est une bonne idée, qui repose sur quelques bénévoles et manque souvent de moyens.

Quand un livre me plait, je l’achète ensuite si j’ai l’intention de le relire ou de l’offrir.

Entre amis sûrs, nous nous prêtons aussi des livres.

Avant, je prêtais facilement mais je déplore la perte de livres auxquels je tenais et qu’on ne m’a pas rendus.

 

15)      As-tu déjà abandonné la lecture d’un livre ?

Oui, sans honte. Je n’ai jamais pu aller au-delà de quelques dizaines de pages de Proust. …Mais j’ai beaucoup aimé la version bande dessinée (à zut, c’était peut-être la question lectures inavouables …)

Il y en a que je reprends plus tard parce que ce n’était pas le bon moment.

Il y en a que je me force à lire jusqu’au bout, pour dire ne pas juger sans connaître, rarement mon avis change au cours de la lecture.

Par contre il est vrai que certains livres on n’y entre pas dès le début et il faut insister sur plusieurs dizaines de pages.

Certains sont comme les musiques, séduisants à la première lecture mais sans consistance, ou au contraire d’autant plus intéressants qu’on les découvre plusieurs fois à des âges différents de notre vie ou avec des humeurs diverses.

De toutes façons, j’ai toujours plusieurs livres en train en même temps que je lis selon mon humeur et ma disponibilité. A part les romans, qu’il faut lire jusqu’au bout, bien des livres permettent des abandons et des reprises.

 

Tu tagues qui ?

Alice a terminé son devoir de vacances par

Le tag ayant beaucoup circulé, je tague qui ne l’a pas fait.

Elle ne m’en voudra pas si je reprends cette sage suggestion à mon compte.


Une dernière suggestion de lecture, autant pour les yeux que pour la tête et le coeur : 


ahauteurdenfants - reduc

A hauteur d'enfants d'olivier Föllmi aux éditions La Martinière

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 12:00

~ Billet 175 ~

Même si Alice n’a désigné personne au bas de son tag sur la lecture, il y a déjà quelque temps, elle a été plus incitative en me déposant le commentaire suivant :

 

C'est profond ta pensée rose ....

« J'ai fait un devooir de vacances , si tu ne l'as pas fait , je te tague na !

Commentaire n° 11 posté par Alice le 11/08/2009 à 20h06 »


Un tag sur la lecture qui circule depuis le début de l’été,

Un tag offert en partage sur les blogs d’Alice ou de Quichotine ou de Fanfan ou d’autres … et qui me posait des problèmes de concision. Cela ne vous étonne guère je suppose !

D’ailleurs, vu la tartine où je me suis étalée, je vous en ai fait trois casse-croûte !

Il faudra revenir lire la fin samedi. D’accord ?

4)      As-tu déjà pensé à écrire un livre ?

La voilà, la question délicate. Trop de frustrations, pas le temps, trop d’hésitations sur le à quoi bon ?

 

Quelles sortes de livres ? Vous pensez roman, poésie, j’ai écrit dès que j’ai su faire des rédactions et même avant, j’en ai des traces.

Des histoires, des contes, des poèmes. Mais je n’ai jamais tenu de journal. Ou plutôt, j’en ai commencé des dizaines abandonnés en deux ou trois jours.

Adolescente, je voulais être photographe animalier, ce qui impliquait le livre à l’époque, bien davantage que les galeries.

Plus tard, j’ai voulu devenir chercheur et pour cela faire un doctorat. On dirait chercheuse maintenant. Mais l’administration de Kafka m’en a empêché !

 

J’ai même éludé la suggestion d’un professeur qui voulait proposer notre mémoire de DES à la publication. Comme il fallait que nous soyons nous-même déterminés, il n’a pas insisté.

 

J’ai toujours écrit, pas forcément pour être édité. c'est une urgence sans analyse ni projet. J’ai noirci des pages de carnets, de cahiers, des bouts de papier.

On m’a cassé les ailes plusieurs fois, soit par affection, croyant bien faire, soit  parce qu’on m’a proposé d’écrire pour des objectifs qui ne me convenaient pas.

 

Un souvenir souriant, le roman (rien que pour nous) que nous avons mené à bien au fil des récréations, à plusieurs en classe de cinquième je crois. Un voyage d’un contemporain dans le passé du moyen âge avec quelques nouveauté de notre époque dans son sac : un transistor, un magnétophone à cassettes, une pile électrique, une brosse à dents… Situations qui nous ont conduit, sans consignes des adultes, à nous pencher sur l’histoire du Moyen-âge autant que sur le sens d’objets qui nous semblaient familiers.

 

5)      Que penses-tu des séries de plusieurs tomes ?

J’aime bien. Certains auteurs ne tiennent pas la distance et en font un filon qui s’éloigne du projet initial.

J’aimerais bien aussi que les énormes pavés qui sont à la mode depuis quelques temps soient divisés en tomes plus confortables.

 

6)      As-tu un livre culte ?

Oui et non.

Non, j’ai l’esprit trop rebelle pour être une inconditionnelle de quelque livre que ce soit.

Oui, j’ai des livres, pas un, plusieurs, que j’ai lu au bon moment ou qui me semblent importants ou qui me consolent quand la vie se fait trop chagrine.

  

7)      Aimes-tu relire ?

Oui, ceux-là notamment. Et aussi des livres qui m’avaient plu il y a longtemps ou qui faisaient partie des incontournables du programme scolaire. J’ai bien mieux apprécié Madame Bovary après avoir lu L’éducation sentimentale et Bouvard et Pécuchet tous de Gustave Flaubert. Mais je n’ai pas compris mon engouement de l’époque pour Le Rouge et le Noir de Stendhal.

J’aime relire Malicorne de Hubert Reeves, ainsi que Le Jardin de lumières de Amin Maloouf et d’autres encore.

 

8)      Rencontrer ou pas les auteurs des livres qu’on a aimés ?
quelles sortes de rencontres ?
La suite samedi ...Et en attendant, une petite suggestion : Lire le grand livre de la nature en se promenant et en ouvrant grand les yeux.
chardon et pissenlit1 - reduc 

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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 18:00

~ Billet 173 ~

Un tag sur la lecture qui circule depuis le début de l’été, un questionnaire plus ouvert et complet je crois bien me souvenir, qui avait, bien plus tôt, été proposé par une communauté. Et j’avais laissé passer le temps et oublié ce sujet de réflexion.

Un très beau hors série de la revue XXI sur la lecture que je vous suggère. Vous le trouverez peut-être encore chez les bons libraires.

 histoireslivresXXI - reduc


Un tag offert en partage sur les blogs d’Alice ou de Quichotine ou de Fanfan ou d’autres … et qui me posait des problèmes de concision. Cela ne vous étonne guère je suppose !

D’ailleurs, vu la tartine où je me suis étalée, je vais en faire trois casse-croûte !

Il faudra revenir lire la suite jeudi et samedi. D’accord ?

 

Même si Alice n’a désigné personne au bas de son tag sur la lecture, il y a déjà quelque temps, elle a été plus incitative en me déposant le commentaire suivant :

 

C'est profond ta pensée rose ....

« J'ai fait un devooir de vacances , si tu ne l'as pas fait , je te tague na !

Commentaire n° 11 posté par Alice le 11/08/2009 à 20h06 »

 

J’ai promis et le temps file. Et certaines questions m’ont posé problème !

Les règles de ce tag, oui, les blogueurs se choisissent des règles, sont simples en apparence

 

D’abord noter de qui vient le tag avec le lien.                    

Répondre sincèrement aux questions,                     

Taguer d’autres personnes

 

Vous connaissez déjà ma position sur les tags, d’ailleurs, on m’en propose rarement et par Ceux qui, comme Alice, me mettent au défi, comprennent mes réticences et présument que le sujet m’intéressera.

Source ? Alice

Destination ? A tous vents

Répondre sincèrement, je ne sais pas faire autrement, mais une question m’embarrasse. Je vous vois déjà avec vos mines tendancieuses !!!

Perdus, ce n’est pas celles auxquelles vous pensez !

 

1)      Plutôt corne ou marque page ?

Marque page, ou tout ce qui peut en faire office, carte postale, bandeau du livre, vieille liste de courses, …

Pratique, le petit lien autour du sac à pain.

Nostalgie, la cordelette de la liseuse en cuir que j’ai longtemps utilisé, mais les formats de livres ne lui conviennent plus. Je l’ai toujours pourtant.

Souvent, j’oublie de décaler le marque pages et à la reprise, j’ai avec plus ou moins de retard à l’allumage, le vague sentiment d’une relecture. Utilité donc car j’hésite souvent à arrêter une lecture alors que le sommeil ou la pensée s’évade de plus en plus de la page.

Cette remise en tête n’est presque jamais inutile. Mais augmente inévitablement le temps que je mets à lire un livre.

 

2)      As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?

Plein ! J’ai toujours aimé les livres, même avant de savoir bien lire.

Entre deux amis, un jour, une folle rigolade : nous venions de nous offrir mutuellement le même livre !

 

3)      Lis-tu dans ton bain ?

Jamais, je suis plus douche que bain et dans ce cas, c’est grosse mousse et zen détente.

Mais la revue XXI, dans son hors série de l’été, vous propose le cérémonial d’une dame adepte de la baignoire-salon de lecture.

 

4)      As-tu déjà pensé à écrire un livre ?

La voilà, la question délicate.  Vous voulez savoir ...
alors rendez-vous jeudi 20 août

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 18:00

~ Billet 152 ~

Je ne sais pas si
Brunô est encore en vacances, mais il a repris ses défis.
Vous avez jusqu'à dimanche 19 juillet 2009 pour
le défi n°15 homonymes

En voici ma petite contribution :

Dans le jardin ceint de hauts murs, le saint homme sentait sur son sein le sceau du blanc-seing confié à lui pour ne plus servir qu'à un usage sain.

Si j'évoque un blanc-seing, c'est que ce mot m'a déjà interpelé ICI.

Il serait dommage d'aller chez Brunô juste pour ce petit casse-tête en mots, attardez-vous sur ses pages. Il nous offre de belles surprises en mots et en images.

orgue de Surgeres1 - reduc

 

La nef résonna
Prémisse d'autres harmonies
A La Rochelle ce fut Brahms

Jeanne Fadosi, 16 juillet 2009

 

L'ange musicien et cet orgue sont abrités par la même église d'Aunis.
Non loin de la Rochelle.
Mais je vous taquine, promis, demain je vous dis où c'est.

.

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 07:05

~ Billet 148 ~

chat transi - reduc
Laisse donc ton blog phosphorer, tu viens, cha va bien dehors ...

chat narcissique - reduc
Chut, je pense, je pense....

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 07:00

~ Billet 147 ~

Chut ... Pour déposer vos commentaires, en douceur sans faire crisser la plume ... blog facilement distrait par tout se qui se passe autour ...

pour y voir clair, inutile de se fatiguer les yeux : remontez un peu votre page, le mode d'emploi est juste au dessus touche ctrl et touche + en même temps ou molette de la souris. Pour revenir à la taille normale touche ctrl et touche - en même temps ou molette dans l'autre sens.
                                                           Belle fin de semaine !

le CAO de Zevar - reduc

un clic sur l'image pour la voir en grand

 

Pour détailler la bande dessinée de Zévar : voir Cerveau assisté avec Zévar 


Pour le moment je cherche comment me mettre au vert ...

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7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 07:15

~ Billet 146 ~

Miaouh ... Crois-tu qu'il va encore réféchir longtemps, ton blog ?

Cha rêve ...

chat-et-chat-peint.jpg

Je préférais la belle diva !

à condition de ne pas finir en pelisse.
oui, mais la fausse fourrure, c'est pas mieux !

Tableau peint par ma soeur Jacotte avant que je ne recueille ce chat (celle qui brode les roses)

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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 12:00

~ Billet 135 ~

Je ne connais pas bien les caractéristiques de cet oiseau bien réel et j'ai rafraichi, comme vous je le présume, ma mémoire avec mon moteur de recherche habituel.

Je savais qu'il était minuscule, friand de nectar de fleurs et migrait dans le Golfe du Mexique et l'Amérique du Sud.
Je pourrais vous renvoyer au bon
article de Wikipédia, comme j'ai pris l'habitude de le faire.
Mais j'ai bien envie de conduire vos pas vers celui de naute.com  : il vous suffit de cliquer sur le timbre que j'ai emprunté sur ce site, mais que j'ai déjà vu dans des albums ouverts avec bonheur par des proches collectionneurs soulevant un peu du voile de leur petit paradis. 


Je ne connaissais que peu de choses de la réalité de cet oiseau migrateur de nos contrées imaginaires de nos contes, ami des fées et si merveilleusement présent dans les illustrations.

Depuis 1969, ce bel oiseau me réenchante à chaque fois que je vois sa virtuosité à gober le nectar de cette fleur, en lévitation dans une verticale renversée ...

colibriJackieLottin1969 rd


Cette peinture sur toile exécutée par ma soeur Jackie dont je vous ai déjà montré d'autres merveilles, brodées ICI et LA.
Cet oiseau-mouche a connu son trait de pinceau final le 15 juin 1969.
Je ne me souviens plus de l'occasion pour laquelle il a ensuite été offert à mes parents, soit pour le quarantième anniversaire de leur mariage, soit pour les fêtes des mère et des père, l'année suivante, mais il a veillé sur mes gestes appliqués sur d'autres oiseaux, pour l'une de ces
tapisseries presque jumelles.

J'ai eu tout le loisir de vivre mes jours de vacances sous les battements d'ailes du colibri, toutes les fois que je suis rentrée au bercail au long de ces années, puisqu'il est resté accroché dans la salle de séjour jusqu'au décès de notre maman.

Depuis, le colibri a retrouvé le giron de sa créatrice et de son homme, et ce sont mes nuits sur lesquelles il veille dans la chambre qui m'accueille quand je leur rend visite.

Voilà pourquoi je leur ai demandé de m'en envoyer une photo par courriel quand j'ai rejoint cette communauté.

Comment échapper à l'appel d'un si joli nom pour porter la bannière du respect de notre matrice, la nature ?

Voilà aussi pourquoi j'ai finalement proposé une bannière au petit challenge lancé par les animatrices de cette toute nouvelle communauté à laquelle je souhaite un bel essor.
Mais pour voir ma proposition, il faudra attendre le 28 sur
le blog du Colibri zen.

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 19:54

~ Billet 109 ~

Tout doucement fermer les yeux, puis les ouvrir et les laisser petit à petit apprivoiser la nuit :

Il était presque minuit ce 3 février dernier, j'avais tenté un cliché de la neige sans flash avec un panasonic DMC-FX33. J'avais obtenu du noir et par négligence gardé ce fichier sans grand intérêt.
mystere dans la nuitC - reduc


Mais l'objectif de l'appareil et l'encodage des nuances était bien plus précis que mon oeil.
Avec le logiciel de retouche Picture! It version9, je me suis contenté d'utiliser le réglage luminosité (L) contraste (C).

J'ai utilisé cette image et une retouche le 4 mai dernier dans ce billet.

A chaque gain en luminosité, il a fallu réquilibrer le contraste pour rétablir une certaine netteté :
Toutes les images qui suivent ont été obtenues à partir du premier cliché.
                                         

 L+10 C+10 L+20 C+20 L+30 C+30  L+40 C+40
mystere-dans-la-nuit-luminosite10-contraste10---reduc.jpg
mystere-dans-la-nuit-luminosite20-contraste20---reduc.jpg
mystere-dans-la-nuit-luminosite30-contraste30---reduc.jpg
mystere-dans-la-nuit-luminosite40-contraste40---reduc.jpg
L+50 C+50  L+60 C+60  L+80 C+60  L+80 C+80
mystere-dans-la-nuit-luminosite50-contraste50---reduc.jpg
mystere-dans-la-nuit-luminosite60-contraste60---reduc1.jpg
mystere-dans-la-nuit-luminosite80-contraste60---reduc1.jpg
mystere-dans-la-nuit-luminosite80-contraste80---reduc1.jpg


        
J'ai cependant davantage de plaisir à jouer avec les couleurs du jour.

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