Après la barbe au masculin, ça va être la barbe au féminin. Je vous avais prévenus.
Devant tout ce qui me barbe et une petite chose qui n'a l'air de rien en particulier mais qui n'en finit pas de m'agacer, mieux vaut prendre comme Francis Blanche, Pierre Dac et les quatre barbus, le Parti d'en Rire !
Perplexité, alors que la manière ironique de La barbe me séduit, (mais oui elles ont pris le parti d'en rire, mais pas que ... et je ne suis pas la seule à apprécier), quand je me dis que donner le pouvoir à certaines .... ça me f ... les boules, ça me flanque les jetons, ça me glace les sangs ...
et encore, ici je vous fais la version soft, genre girl-scouts qui se prennent pour des femmes libres
Ah oui je ne me suis pas exprimée sur ce sujet qui a monopolisé l'attention pendant des semaines et des semaines ... (je ne comprends pas cette opposition acharnée pour refuser un droit qui n'enlève rien à ceux des autres mais je ne comprends pas bien non plus cette revendication pour une institution dont le nombre de désunions en France (près de 50%) montrent qu'elle n'est plus pertinente pour beaucoup)
... Alors que se jouent tant de choses essentielles pour l'humanité. Comme l'enfouissement profond des déchets radioactifs par exemple. Ou l'enterrement de première classe de droits sociaux. Pas de ceux qui sont grignotés dans un consensus derrière les ruades de façade jour après jour, non. mais en coulisses, dans les pratiques de management par le stress, dans le no man's land du non droit social international ou l'évacuation d'une sttation russe près du pôle nord pour risque de dislocation de la banquise où est établi le campement ...
La barbe au féminin, côté bonne humeur rose bonbon, enfin ... pas pour tout le monde, c'est évidemment la barbe-à-papa quand elle se trouve au bout de la main d'une petite fille qui en laisse une empreinte délicieuse sur le magnifique postérieur gainé de lin blanc d'une très grosse dame à Disney-land-Californie quand le papa ou la maman pensent seulement à ne pas lâcher sa main dans la foule des touristes (scène vraie).
c'est toujours la barbe-à-papa d'une fillette dans les bras de son père, distrait, quand elle me fait des papillottes sucrées dans ma coiffure à la foire saint-Martin, il y a ... très longtemps ...
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