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Au fil de mes réflexions, en partant du quotidien et ou de l'actualité, d'une observation, ou à partir de thèmes des communautés de blogs ...

La radio a cent ans !

Long silence de plus d'un mois que j'aurais pu pourtant émailler de réflexions sur une actualité et des retours sur l'Histoire nombreux et ou importants

La Commune de Paris en 1871 et sa fin sanglante et tragique que certains y compris historiens n'ont pas voulu marquer.

La mort de Napoléon à Sainte-Hélène dont la commémoration a divisé et fait couler des frappes de clavier à défaut d'encre. Moi, j'ai envie de saluer Beethoven qui a commencé sa symphonie n°3 à la gloire de Bonaparte et qui l'a rebaptisée La symphonie héroïque quand son héros révolutionnaire s'est auto-proclamé empereur.

Les noyés oubliés de la Méditerranée ou de la Manche sur fond d'actualité tournée plus vers la Covid.

La nième guerre israélo-palestinienne.

L'incroyable acte de piraterie aérienne d'Etat

Le "débarquement" par les militaires des chefs qu'ils avaient mis à la tête du Mali en mars.

Les trop nombreux féminicides

Les traques aux forcenés de ces derniers temps.

La liste est infinie.

Sans oublier les hommages aux derniers morts célèbres tels tout récemment 

C'est encore la radio que j'écoute bien plus que je ne regarde la télévision ou que je lis les notifications d'actus de mon téléphone qui me renseigne sur l'état et les soubresauts du monde tel qu'il va, bancal, apeuré, transi ou replié sur la haine des autres.

C'est encore la radio qui me renseigne sur les nouvelles chansons et les nouvelles musiques, autant dire une fenêtre minuscule et biaisée de la production artistique.

C'était la radio qui m'a sans doute apporté mes premiers émois à écouter de la musique. Même si la qualité sonore d'un poste des années cinquante avec son unique haut parleur et ses grésillements n'était pas de la Haute fidélité.

Si je me suis d'autant plus réjoui que ma radio préférée célèbre les cent ans de la radio, c'est que la radio fait partie intégrante de notre histoire familiale mon père, serrurier-ferronnier de formation quand il a du faire son service militaire au début des années 1920, a été affecté aux communications pour son expertise de la soudure fine (on utilisait aussi des horlogers) et pour développer les transmissions par radio (émission, réception, interception des transmissions ennemies).

C'est sans doute à cette occasion, lors des temps de trêve, qu'il captait les chansons qu'il a consigné dans son cahier.

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J
Gamine, pas de télé, un poste radio, rien à voir avec nos chaînes Hi-Fi.... on l'allumait ça et là, je me souviens que ma mère y suivait un certain feuilleton... et on était content avec ça.... merci Jeanne ,-)
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