C'est le thème suggéré par Lajemy pour le Casse-tête de la semaine. Pas trop casse-tête en cette période où j'imagine que beaucoup d'entre nous préparent avec fébrilité les réjouissances de fin d'année.
Depuis la généralisation de la fée électricité, au moins dans les pays privilégiés, la bougie subsiste pour sa flamme vacillante, pour la lumière douce, pour les ombres et le mystère qui l'accompagne. Moins romantique quand une panne nous oblige à ressortir ces équipements désuets et à chercher les allumettes.
On les préfère dressées sur des tables de fête, ou en décoration sur un meuble, même s'il faut utiliser le plumeau pour lutter contre la poussière.
Celui-ci n'existe plus, le chat, qui n'est pas si habile qu'on le prétend, l'a fait tombé un jour d'équilibre instable entre les bibelots. Pourtant, je trouvais ces roses si réalistes que je n'avais osé l'allumer !
Et puis les bougies, c'est aussi cette joie-là :
Ne rêvez pas trop quand même, c'est dégusté depuis longtemps !
Mais les bougies, pardon d'assombrir un peu le tableau de ce billet, c'est aussi le souvenir lointain d'un petit camarade qui s'est embrasé en voulant allumer des bougies sur un sapin de Noël. Alors juste, soyez prudents et vigilants.