~ Billet 119 ~
Ma rubrique le coin du crieur, je l'avais initialement ouverte pour donner des infos relatives à l'évolution de mon blog. Ensuite, comme les crieurs annonçaient les nouvelles à la manière des journaux puis de la radio et de la télé régionale, j'y ai ajouté des annonces sur des évenements que j'avais envie de souligner.
Je traine, je me disperse, je prends mon temps. Le temps lui, file sans m'attendre et ma promesse d'en dire un peu plus sur le crieur de rues et le garde champêtre, où en est-elle ?
Eh bien tout récemment, Nettoue a fait une belle présentation du Garde Champêtre qui me dispense de me creuser les méninges. Elle m'a gentiment donné son accord pour vous conduire vers son article.
Aujourd'hui, mes éclairages iront à Dame Nature, qui est un paysage dessiné par les humains depuis bien longtemps. A partir du début de la sédentarisation, la nature sauvage a progressivement fait place à d'autres espaces.
Il faut dire que dans un bureau visité ce midi, j'ai vu des posters de photos magnifiques de Yann Arthus Bertrand.
Première annonce : Main Verte relance son autre blog Bonnes nouvelles environnementales
Deuxième annonce : les fleurs mutantes rencontrées en janvier ont disparu. Pas de regret pour celles-là.
Ceux qui sont passé par ce billet Fleurs mutantes s'en souviennent peut-être.
Alors, je dois en toute honnêteté saluer l'effort accompli depuis dans ma campagne.
Je ne sais pas qui l'a débarassé de ces OTTBIPI (objets terrestres trop bien identifiés propriétaires inconnus) ni quand.
Les employés communaux ? Les cultivateurs ? Les bénévoles qui se sont retroussés les manches lors de la journée de nettoyage qui devient désormais un rendez-vous de printemps ? Le vent ?
Un grand bravo en tous cas. Et ce qui est encore plus étonnant, Les fleurs mutantes n'ont guère refleuri. Pourvu que ça dure !
J'ai laissé passer du temps mais j'avais aussi constaté averc beaucoup de satisfaction des champs travaillés avec précaution, loin des labours profonds qui perturbent les écosystèmes et épuisent les sols.
Les bords de routes et de chemins sont fauchées plus tardivement pour laisser le temps aux herbes de fleurir et faire des graines. Depuis quelques années, la diversité revient. Du bonheur !
Fleurs au bord d'un chemin : je n'en connais pas le nom, peut-être pouvez-vous m'aider ?
Troisième annonce qui concerne mon blog, cette fois : afin de mettre en évidence les bégaiements de commentaires liés au(x) bugs d'avril mai, je vais supprimer les doublons. Je n'ai pas encore réfléchi à la manière de garder les réponses que j'ai faites, la lumière jaillira toute seule, à moins que vous n'ayez une idée à me suggérer.
Bon, c'est bien marginal par rapport aux nouvelles de ce monde, sans doute. Qu'est qu'un tout petit effort quand l'atmosphère est polluée par des tirs de missiles, quand le désir de paix se voit si malmené !
Je veux continuer à y croire.
Photo prise par un de mes frères, qu'il m'a envoyé avec ce commentaire :
pour la lumière, place des jacobins, au Mans . C'est la statue Icare de Wilburgh Wright