Au fil de mes réflexions, en partant du quotidien et ou de l'actualité, d'une observation, ou à partir de thèmes des communautés de blogs ...
Par Jeanne Fadosi
sur l'image, un lien vers l'APEV
sur l'image un lien vers Manuassociation
Toujours à mes états d'âme, j'ai encore hésité à écrire un billet sur ce sujet.
D'autant que cette journée ne concerne pas les adultes disparus et qu'il existe une autre date pour la journée internationale des disparus le 30 Août . En 2008, c'en était le 25 ème anniversaire.
J'ai trouvé ce document en pdf sur Google . Il provenait de la croix rouge belge
Ce combat est aussi celui de
ou se recommandant d'Amnysty International celui du Collectif des familles de disparus en Algérie
Ces disparitions dramatiques pour les familles ne doit pas non plus alimenter la peur de l'autre, du différent, de l'étranger et apporter de l'eau au moulin de ceux qui alimentent la xénophobie, le racisme et la discrimation sous toutes ses formes.
La lutte contre les disparitions forcées est un combat universel comme en témoigne ce colloque autour d'un convention internationale pour la protection des personnes contre les disparitions forcées
selon cette page du BDIP trouvée sur Google
Je sais aussi que la rumeur et la fausse nouvelle est une plaie aux conséquences ravageuses.
Sur la toile, on les appellent des hoax
Deux sites qui vous aideront à mieux cerner ce problème :
Comme je l'ai écrit dans Alerte ... et je vous rappelle ici le lien vers Tisserande
Cette triste nouvelle m'émeut beaucoup bien sûr. Et c'est la raison pour laquelle je relaye cette information (qui est vraie), tout en étant consciente de la limite de l'exercice.
J'ai aussi vu quelque part un commentaire indiquant de façon pertinente aussi quelque chose comme
Pour ma part, je ne relaie jamais ce genre d'information surtout avec la photo, car on ne sait jamais si un cinglé ne va pas l'utiliser. Mes récentes découvertes sur la toile m'incitent à appeler à une grande prudence.
Des faits divers tragiques, il y en a hélas tous les jours, quelquefois dans les journaux, beaucoup en silence : la vie n'est pour personne un long fleuve tranquille.
Nous vivons dans un pays plutôt privilégié .
Je serais absolument désolée de participer à mon insu à une campagne d'agitation sécuritaire : la sécurité n'a pas de couleur politique
La première sécurité est d'avoir un abri pour se loger
le minimum pour subsister
et la dignité pour en reconnaître dans les autres.
Ensuite, elle est affaire, comme d'autres valeurs largement partagées sur notre terre finie, de vivre ensemble.
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