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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 22:02

~ Billet 252 ~  (ex-Rendez-vous de l'insolite)

Fier retour de la dernière des guerres, ils y croyaient tant !

camionette1418---reduc1.JPG
Pour Les Rendez-vous de l'insolite, sous la houlette de Kri

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8 novembre 2009 7 08 /11 /novembre /2009 09:32

~ Billet 249 ~ (ex-Rendez-vous de l'insolite)

premiere-auto---reduc1.JPG


La première voiture était toujours une fierté, et dans le village, sollicitée pour remplacer la charrette sur le tajet de la gare pour l'arrivée des personnes d'importance. Le confort reste encore bien rudimentaire.

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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 17:43

~ Billet 246 ~ (ex- Rendez-vous de l'insolite)

en-charrette---reduc1.JPG
Partir en vacances, c'était des heures d'escarbilles dans le train à vapeur, et pour finir quelques kilomètres cahotés et tirés par le brave baudet bien utile et pas aussi têtu que sa réputation ne le laisse croire.

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24 octobre 2009 6 24 /10 /octobre /2009 07:05

~ Billet 234 ~ (classé dans l'ex-catégorie le geste du colibri)

Juste comme je vous avez suggérer de rebondir sur un ou plusieurs des mots suivants :

          fruits                 conservation 
                     acheminement
         saisons                       transformation


J'ai trouvé ce pack de 6 litres de lait en faisant mes courses habituelles.

packlait1---reduc1.jpgAvouez que c'était tentant d'évoquer les distances de plus en plus longues que l'on fait faire à des produits qui se consommaient frais il y a encore bien peu de temps.
La technique de l'ultra haute température a été inventée en 1951 et commercialisée en France en ??? Google ne m'a pas apporté de lumière sur ce point et je ne sais plus où j'ai rangé mon quid.

packlait2---reduc1.jpgJe me souviens que j'achetais encore du lait pasteurisé au tout début des années 1970. En me débrouillant avec une glacière de fortune pour avoir du lait au petit déjeuner le week-end dans ma chambre d'étudiante. Les restaurants universitaires avaient été fermés les fins de semaine pour faire des économies budgétaires sans se préoccuper de tous les étudiants qui étaient contraints de rester sur le campus ces jours là.

Ceci dit, le slogan écrit me laisse un arrière goût de chauvinisme qui ne me plait guère. Si je trouve inutile d'acheter du lait italien dans l'ouest parisien, alors que des élevages laitiers existent beaucoup plus près, je trouverais normal d'acheter du lait belge du côté de Lilles plutôt que de le faire venir du Poitou ou du lait du nord-ouest de l'Italie à Nice ou Menton plutôt que de le faire venir de Hollande ou de Bretagne.

Si le coût réel du transport dans toutes ses dimensions était justement pris en compte, les produits qui voyagent loin auraient un prix exorbitant.

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 16:20

Autant pour faire le point sur le passé de mon blog que sur mes communautés, je revisite dans le désordre mes publications dans celles-ci.
J'en profite pour en faire le catalogue.
J'ai commencé par Colibri zen avec Le nid du colibri.
Les lundis arc-en-ciel, ce n'était pas une communauté, mais ce fut un beau partage. Aventure qui, associée aux jeux de la Récré ... à Bigornette ont fait décoller l'audience de ce blog. Ce n'était pas le but et j'en reparlerai sans doute dans un autre billet.

Revenons à mes débuts dans le monde des communautés d'Over-blog.

De vous à moi, c'est la première communauté à laquelle j'ai inscrit mon blog.

Animé par C'est la vie pas l'paradis. Je crois me souvenir que son pseudo était Marie, mais peut-être que je me trompe.
Je n'avais pas pris la mesure des imperfections communautaires. Je ne connaissais aucune des règles implicites de fonctionnement de la blogosphère.
Je pensais qu'une petite communauté était préférable à de grands complexes.
Quelques-uns des blogs inscrits me semblaient correspondre à ce que je pouvais bricoler moi-même, d'autres non, mais sans entrer en conflit avec mes convictions.

Mais peut-on avoir une vision claire de l'ensemble sur quelques articles, souvent reflet de l'actualité médiatique ou artistique.

Je ne savais pas encore que les pages ne sont que des façades grimées et habillées qui varient de jour en jour sans vraie continuité ou au contraire avançant masqué pour mieux vous harponner.
Je n'avais pas encore décelé l'objectif professionnel derrière le blog.
Je n'avais pas non plus découvert l'éphémère des blogs et l'addiction de certains autres, les faux nez, les mauvais caractères, les tricheurs, les "qui prennent tout trop à coeur", les qui font semblant de prendre tout trop à coeur ... ceux qui vous mettent dans une case sous prétexte que vous avez évoqué tel ou tel sujet, même d'un seul mot, souvent d'un seul mot sans analyse et sans questionnement, les séducteurs qui vous arponnent pour vous rallier à leur cause monomaniaque.
Les ...
Les vrais gentils, les faux gentils, les faux méchants, les vrais teigneux, les publicitaires, les blogs à plusieurs mains (ce n'est pas un défaut, c'est quelquefois la vitrine d'un atelier ludique ou pédagogique ou thérapeutique) ...

Bref, vous m'avez compris, cette première communauté m'a assez vite laissé sur ma faim.
La meneuse de revue a disparu des radars à l'occasion des fêtes de fin d'année et j'ai mis longtemps à obtenir ma désinscription à cette communauté.
Je n'ai par ailleurs aucun grief contre l'animatrice qui a fermé son blog, ni aucun autre des blogs inscrits.
Je ne savais pas ce que je cherchais, mais aucune lanterne ne s'est trouvée sur ce chemin-là.

Pas non plus réfléchi au nom et au sens, expression populaire ou force centripète ?

Entre temps, j'ai découvert Ecriture Ludique, fait un premier exercice et aiguillonnée par Robinson, un deuxième.
Et c'est par Robinson que j'ai découvert Bigornette et sa récré. La suite, vous la connaissez.

Revenons à De vous à moi, Le blog de l'animatrice en stand by, le blog qui m'avait séduit à peu près aussi et le troisième déviant vers des textes qui m'ont plongé dans la perplexité. Si vous me suivez depuis longtemps, vous aurez remarqué que perplexe et perplexité sont deux mots que j'aime bien utiliser.

Je ne sais plus pour quelle raison j'ai eu à faire une recherche sur Bernard Werber. Peut-être pour retrouver le titre exact d'un livre ou sa date de parution. Pas forcément par curiosité pour le roman d'ailleurs, même si Bernard Werber est un des auteurs dont j'ai presque tout lu. Pour me resituer dans le temps lorsque les repères de la mémoire foutent le camp.
Ce sont les dernières vacances d'hiver où ... J'avais offert le livre de nouvelles de B W pour Noël, cette année-là. C'était quand déjà ?

Je crois au sujet de la mémoire, que ce gigantesque réservoir qu'est Internet présente les inconvénients de ses avantages.
D'un côté, pour peu que l'on ait quelques indices pertinents et que l'on sache poser les bons mots clés, il est assez facile de retrouver une information.
De l'autre côté, je suis le plus souvent perplexe quant à l'exactitude de ce que j'y trouve. Mes débuts d'apprentissage avec une citation de Jacques Prévert m'ont conduit dans bien des méandres tout en étant très formateurs.
Et l'autre gros inconvénient est que ma mémoire se fait paresseuse puisque de toutes façons, je pourrai, sans doute, enfin peut-être, retrouver ce souvenir non enregistré dans cette énorme mémoire auxiliaire.

J'ai du mal à imaginer que dans les temps antérieurs à l'usage des supports écrits aisés (en gros le papier et même l'imprimerie), les hommes publics retenaient par coeur les débats des assemblées et les discours. Facile de comprendre que cette faculté de mémorisation était sans aucun doute beaucoup plus développée que maintenant, tout simplement parce qu'elle était une condition de vie autant que d'autres habiletés telles le calcul mental.
L'histoire d'un peuple, sans le support de l'écrit, et même longtemps après ses débuts, n'en déplaise à certains qui ignore son existence, l'Histoire d'un peuple circulait par transmission orale et supposait donc une mémoire du récit entendu fiable, précise et durable.

Donc c'est au moment où j'étais bien embarassée de cette inscription fantôme que j'ai découvert que le site officiel de Bernard Werber avait tout bonnement en sous-titre ou en bannnière d'accroche, comme vous voulez : De vous à moi !  en accédant à la deuxième page.

Ce site, qui fait depuis partie de ceux que j'aime bien visiter, était bien antérieur à la création de cette communauté orpheline.
Rest à savoir d'où venait cette expression. Et une interrogation de Google aujourd'hui même m'a affiché un nombre conséquent de blogs qui s'intitulent ainsi à quelques variantes près.

Au bout de quelques courriels à l'animatrice et à Over-blog, j'ai fini deux ou trois mois plus tard, par voir cette communauté disparaitre de ma liste et les quelques articles parus sous son nom déclassés enfin. Je n'en ai pas gardé la memoire et cela n'a pas d'intérêt puisqu'elle n'est plus.

Reste le problème de la difficile desinscription à une communauté alors que l'inscription se fait dans la plupart des cas, le plus aisément du monde.
Il me semble que la même procédure que celle utilisée pour se désabonner d'un blog, avec peut-être un ou deux filets de confirmation complémentaires devrait être mise en place, afin de respecter tout simplement le droit de libre appartenance à un groupe, y compris quand on veut en sortir.

Je relis ce brouillon alimenté progressivement depuis déjà quelques semaines. Trop long, abordant plusieurs sujets, n'en approfondissant aucun. Je n'arrive pas à me décider à la concision. Tant pis, et si vous lisez ctte auto-critique, c'est de toutes façons que vous avez eu el courage de lire jusqu'à la fin.

Encore une autre réflexion, déjà maintes fois abordée : j'ai ouvert un blog pour me distraire. Et ce désir restera ma priorité, réfléchir et faire réfléchir, d'accord. Mais activité récréative avant tout.

Belle semaine à vous !

Post scriptum, je mets en ligne maintenant sans attendre de trouver une illustration à ce billet. Sinon, je ne vais pas encore le faire ...

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 17:25

~ Billet 160 ~

Ce billet fait suite à celui-ci

Encart, depuis quelques jours, la rumeur avait enflé jusqu'à prendre réalité :
La célèbre agence de photos Gamma va déposer le bilan !
Les reporters n'y font pas de reportages assez "people" !
Je suis triste et en colère : il faut sauver cette indispensable fenêtre sur le monde !


Pour en savoir plus, sur cette actualité ce lien ou le Monde du 23 juillet, mais en utilisant votre moteur de recherche préféré avec la requête "agence gamma", vous accèderez encore à d'autres articles.

Revenons aux pantalons, si je vous dis que, en 1966, nous avons immortalisé dans la neige la première autorisation obtenue pour mettre un pantalon au dessous de zéro degré pour traverser la ville. Encore fallait-il se remettre en jupe aussitôt de retour avant même l'étude de fin d'après-midi.

Remarquez au passage que bien peu d'entre nous n'avions prévu l'équipement enfin autorisé !

Quant aux coups de bâtons, il faut peut-être remonter un peu plus le temps passé mais l'interdiction des châtiments corporels ne datent que de ? Peut-être l'un d'entre vous saura-t-il me le dire (en France, tout au moins car il est d'autres pays où ils sont encore la règle) ?

Combien de maîtres passaient outre ce nouveau pas vers ce qu'ils considéraient déjà comme du laxisme.
Combien de l'âge de mes frères et soeurs aînés ont dû tendre leurs mains, doigts  regroupés offerts au coup de règle en métal.

Comme ceci :


Et combien sont restés jusqu'à la fin d'un cours dans un coin de la classe, à genoux sur une telle règle dont la section carrée faisait à peine un centimètre ?
Je n'évoque pas les parents qui avaient le droit de châtier et qui faisaient le bonheur des marchands de martinets à lanières de cuir.
Qu'on ne se méprenne pas. Il ne s'agit en aucun cas de ne pas sanctionner ou punir. Le balancier est parti beaucoup trop loin dans la tolérance de l'intolérable... Jusqu'à fabriquer des tortionnaires dont seuls les meurtriers se retrouvent aux assises et encore, pas tous sans aucun doute. Mais il existe d'autres moyens quand l'éducation n'a pas empêché les débordements inévitables à l'âge de l'ignorance et de la curiosité mais aussi de la fascination envers les "un peu plus grands".

Baudelaire, c'est entendu, mais quels autres ?
Nietszche, dont j'ai redécouvert quelques écrits pendant mes vacances de juillet.
Mais j'y reviendrai ! Il mérite une attention particulière et non quelques mots à la fin d'un billet d'humeur ...

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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 07:00

~ Billet 143 ~

Charles Baudelaire

Rappelez-vous, c'était dans ces billets Quand la colère se fait fête et C'est le printemps de Prévert.

 Je vous avais posé des colles. Je pensais que vous trouveriez facilement.

Dans Grand bal du printemps, Jacques Prévert citait Charles Baudelaire :


"Il est impossible de parcourir une gazette quelconque, de n'importe quel jour, ou quel mois, ou quelle année, sans y trouver, à chaque ligne, les signes de la perversité humaine la plus épouvantable, en même temps que les vanteries les plus surprenantes de probité, de bonté, de charité, et les affirmations les plus effrontées, relatives au progrès et à la civilisation."


CHARLES BAUDELAIRE, Mon coeur mis à nu, in Oeuvres complètes, Paris, NRF/Gallimard, 1954, «Bibliothèque de La Pléiade», p. 1231

 
Et je vous avais demandé si quelqu'un savait d'où était tiré cette citation.
Des commentaires m'ont apporté la réponse.

En dehors de ses textes poétiques, Baudelaire tenait un journal 
Il aurait été rédigé de 1852 à 1866.

Il a en tous les cas fait l'objet d'une publication posthume en 1887, grâce au travail de collectage de son éditeur et ami, Poulet-Malassis, qui en a numéroté les feuilles volantes, puis les a relié.

J'aurai sûrement l'occasion de reparler de Poulet-Malassis mais pour l'instant, j'ai plus envie de rejoindre de vrais livres et pourquoi pas Baudelaire ou Victor Hugo ?

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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 08:20

Complément aux derniers billets du crieur ICI et ICI


L'Organisation des Nations Unies a choisi deux thèmes forts pour l'année 2010

Année 2010
  • Année internationale de la biodiversité
  • Année internationale du rapprochement des cultures

Il ne vous aura pas échappé que la biodiversité est au coeur de mes préoccupations.

Pour le rapprochement des cultures, je m'efforce de comprendre les autres, L'autre, en cherchant à connaître un peu des cultures du monde et pas seulement celles d'aujourd'hui. Des milliers de siècles d'Histoire nous déterminent même malgré nous/

Je suis donc abonnée à deux revues,
Je pourrais en lire d'autres sans doute plus détaillées mais le temps me manque et j'ai d'autres priorités budgétaires, sans doute plus futiles.

Sciences Humaines



Le Monde des Religions


J'ai eu grâce à cette revue accès à quelques notions de toutes les religions car mon ignorance est grande.
J'y ai fait également la connaissance du


ccefr prog2009 - reduc
dont voici les dernières précisions concernant le cycle de septembre octobre.
En cliquant sur l'affiche ci-dessus, vous en saurez plus sur les modalités de participation.

ccefr prog 4ecycle2009 - reduc

clic sur l'image pour l'agrandir

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 15:33

~ Billet 132 ~

Dans ma grande précipitation à mettre en ligne mon billet souriiiiiiiiires ... le petit oiseau va sortiiiiiiiiiiir ...., je n'ai pas du tout envisagé que son titre ne tombait pas sous le sens.
Non, Les plus jeunes comprendront peut-être mieux si je leur dis cheeeeeeeeeeeeeese.

Comment le petit oiseau ne peut pas être un corbeau ! Et de toutes façons, s'il sourit, il va lâcher le fromage.
Oui, mais s'il ne sourit pas, il ne met pas son plumage en valeur.
Mais pourquoi donc semble-t-il sourire, le renard ?

Vous ne voyez toujours pas le rapport avec "le petit oiseau va sortiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir" ?
Bon, dirigez-vous calmement vers la salle de bains, ou tout autre endroit où vous pourrez vous voir dans une glace.
Maintenant prononcez tout le titre en articulant et en insistant bien sur les iiiiiiiiii.

Mais non pas le titre de ce billet-ci, celui pour le casse-tête.
Pas compris ? recommencez en vous regardant bien dans la glace.
Essayez aussi avec cheeeeeeeeeese.
Ca y est ? Vous comprenez maintenant pourquoi sur les vieilles photos tout le monde semble avoir un sourire figé !

L'instantané n'est venu qu'avec les progrès de la technique et même ainsi, pas facile de saisir l'instant du sourire.

Je vous présente donc la "mère" adoptive de Gribouille, dans Epitaphe pour Gribouille qui, à l'occasion, savait aussi sourire aux petits d'hommes.

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 22:20

~ Billet 125 ~


Vous souvenez-vous des mes petites fleurs rencontrées sur le chemin ?

Celle-ci a poussé tout près de la maison au beau milieu des cailloux.
 

silène2 - reduc

Dans le puissant vent
Insolite dans les graviers
Blanche et solitaire


Merci à Oxygène et Zip de Zoup. A mon frère aussi.

Cette fleur est le fameux " compagnon blanc ",
ou SILENE ( silène latifolia, famille des caryophyllacées ...).

 

cliché de  J.F. Gaffard dans l'article de wikipédia
C'est aussi un papillon, et un macaque

Au masculin, silène est d'abord un faune, ou satyre...
 

et vous pouvez aussi consulter l'article de wikipédia

 

Silène était donc un faune ou  un satyre et pas n'importe lequel puisqu'il s'agirait du père adoptif du dieu Dionysos, dieu de l'ivresse, souvent vu en compagnie de ses comparses Como, la bonne chère et Coros, la satiété.

On le dit descendre d'Hermès selon certaines traditions ou de Pan et d'une nymphe ou de Pan et de Gaïa

 

Quant à l'historien grec Hérodote, il le fit naître d'Hybris, la démesure.

Est-ce à dire que les anciens s'énivraient avec des décoctions de silènes (au féminin) ou l'homonymie est-elle tout à fait fortuite ?

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