Au fil de mes réflexions, en partant du quotidien et ou de l'actualité, d'une observation, ou à partir de thèmes des communautés de blogs ...
~ Billet 176 ~
Nous restons à la campagne avec Dana en mettant le zoom sur les herbes folles qui nous entourent pour le thème de la semaine.
Chic ! Elle me donne l'occasion une fois de plus de vous conduire vers d'autres billets de mon blog.
D'ailleurs, je vous avais déjà présenté des belles que je n'apprécie guère, j'en ai même eu une sacrée frousse ! C'était au temps des phobies dans Piqûre ou brûlure ?
Ceci dit, cette aversion ne concerne que moi et je salue le commentaire de Maous Artist Défiant l'Olibrius sur les définitions disqualifiantes (voir son com déposé sous le billet de Dana)
Il n'y a en effet pas de bonnes ou de vilaines petites bêtes et même le terme de nuisible devrait être reconsidéré dans une diversité écologique où chacun a son rôle.
J'ai donné un des tons de ce blog dès le deuxième billet avec Chants d'oiseaux, prolongé par Si les oiseaux pouvaient parler.
Peut-être ne savons-nous simplement pas les comprendre.
Cet après-midi, alertée par des bruits de tôle inhabituels sous le manteau de ma cheminée, vous savez, celle où je mets les petites cartes reçues, j'ai ouvert l'insert plusieurs fois sans succès, jusqu'au moment où le froissement a été si impressionant que le chat s'est cru à l'affut. La porte a cette fois délivré un oiseau de la taille d'un merle ou d'un coucou qui s'est affolé entre les deux fenêtres de la salle à vivre, coursé par le chat, avant de viser l'ouverture vers le ciel où il a dépassé la cime du premier arbre à une allure folle !
Je n'avais pas encore pris connaissance de la suggestion de Dana, mais sans doute devais-je à nouveau parler des oiseaux et de notre difficile cohabitation, alors même qu'ils sont si utiles, à l'instar des insectes.
Des arbres et des haies que l'on abat, et c'est tout une population d'oiseaux et d'insectes que l'on expulse. Ce sont des vies en devenir que l'on suspend. Un nid par terre, Des cloches et des oeufs pour quelques becs d'oisillons. Mais pourquoi serions-nous plus soucieux de ces bestioles, nous humains si peu soucieux d'autres humains ?
Je n'ai guère de temps sur la toile pour continuer la visite guidée vers les insectes, justement, les premiers de ce blog ont prolongé sans lien apparent (mais si pourtant) une réflexion grave sur Le droit à un avenir.
D'ailleurs je m'aperçois que les insectes, je les associe encore au futur dans Ode à la vie, ode à demain, étrange, non ? Et quand une lumière ... de pixels joue avec les fleurs et la vie qui se trame, un insecte n'est jamais bien loin.
voici des clichés pris l'an dernier dans le jardin d'un petit clos de l'Ile de Ré;
Comment se chauffer au soleil délicieusement, merci les humains !
Comment se fondre dans les branches incognito
Si, si la bestiole est bien ici
telle une brindille.
Comment faire la sieste en attendant le casse feuille de la nuit
Celui-ci, je vous l'avais déjà montrer là, c'est bien ancien dans une vie de blog !
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